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    Présentations destinées à présenter nos motivations. Appel à se mobiliser, à soutenir les actions en préparation AUTRES REGARDS SUR LA PRESQU'ÎLE Chaque regard regroupe les éléments clé de nos analyses, de nos questionnements, de nos propositions d'actions. La plupart de nos regards illustrent des problèmes récurrents sur le moyen et long terme LOCATION MEUBLES TOURISTIQUES LOGEMENT AIDE, LOGEMENT SOCIAL, MIXITE NORMALISATION DE LA GESTION DE LA DELEGATION DE SERVICES PUBLICS DU PORT DE LA VIGNE OFFRE DE TRANSPORTS PUBLICS AVENIR DES PERRES SUR LA COTE NOROIT DE LCF DEMOCRATE PARTICIPATIVE A LCF- DERRIERE LES MOTS L'AVENUE DU TRUC VERT EST A NOUVEAU DELAISSEE LA COMMUNE QUE NOUS VOULONS EN 2050 SUBMERSION : UN ÉVEIL DOULOUREUX LOCATIONS DE MEUBLES TOURISTIQUES - RAPPELER LA LOI LE MEUR DE NOVEMBRE 2024 Pour favoriser la location permanente au détriment de la location touristique, la loi Le Meur du 19 novembre 2024 introduit une série de mesures : une fiscalité moins favorable à la location meublée, un DPE obligatoire, et des pouvoirs des maires renforcés. Pour lutter contre la pénurie de logements vides et la transformation des logements en locations touristiques destinées à une clientèle de passage, les initiatives parlementaires se sont multipliées. La loi n° 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale (JORF n° 0274 du 20 novembre 2024), dite loi Echaniz-Le Meur contient une série de mesures visant notamment à renforcer les pouvoirs des communes. La municipalité de LCF fait largement état du prix du foncier spéculatif et inflationniste, qui limite les projets de logements sociaux et un plus grand nombre de baux location vide . A ce jour elle a adopté a minima une mesure d'obligation de déclaration auprès de la mairie avec mention du numéro d'enregistrement dans toute publicité ou bail temporaire. Cette généralisation du numéro d’enregistrement sera applicable au plus tard le 20 mai 2026. L’enregistrement permettant de demander des pièces justificatives, cette évolution doit permettre une meilleure connaissance et une plus grande régulation par les maires du parc locatif touristique. Nous n'avons pas à 5 mois des élections municipales de 2026 de bilan affiché et de programme d'extension de la maitrise de ce marché. C'est pourtant ce que permet cette loi de novembre 2024, dite loi Echaniz-Le Meur Elle Instaure Une nouvelle réforme fiscale Pour les revenus tirés de la location des meublés classés et chambres d’hôtes, le régime de micro-BIC s’applique dans la limite de 77 700 euros de revenus locatifs annuels (contre 188 700 euros) et l’abattement s’élève à 50 % (contre 71 %). euse. Le DPE obligatoire pour les meublés de tourisme Le diagnostic de performance énergétique (DPE) est rendu obligatoire pour les meublés de tourisme. La loi met ainsi fin à la distorsion entre le logements locatif longue durée qui étaient déjà soumis au DPE et au location meublée touristique qui y échappaient jusqu’à présent, créant un phénomène d’éviction au détriment de la première catégorie de location. Désormais, tous les logements proposés nouvellement à la location en meublé de tourisme en zone tendue et soumis à autorisation de changement d’usage devront attester d’un DPE classé au moins F en 2025 et E en 2028. Des compétences élargies pour les maires La loi Le Meur donne aux maires des compétences élargies pour mieux réguler les locations touristiques. En plus de la procédure de déclaration avec enregistrement en mairie, en plus de l'obligation d'un DPE, la loi autorise d'autres dispositions importantes -->Deux nouvelles amendes administratives pourront être prononcées par les maires : – 10 000 euros maximum en cas de défaut d’enregistrement d’un meublé de tourisme, – 20 000 euros maximum en cas de fausse déclaration ou d’utilisation d’un faux numéro d’enregistrement. -->Pour aller plus loin, les communes pourront également limiter dans le temps et dans l’espace la location de meublés de tourisme. Premièrement, les communes pourront définir des quotas d’autorisations de meublés de tourisme et délimiter, dans leur plan local d’urbanisme, des secteurs réservés à la construction de résidences principales. Cette capacité sera ouverte aux communes qui comptent plus de 20 % de résidences secondaires ou celles où est applicable la taxe annuelle sur les logements vacants. Deuxièmement, à partir de 2025, toutes les communes pourront limiter à 90 jours par an la durée maximum pendant laquelle les résidences principales peuvent être louées à des touristes, contre 120 jours actuellement. En cas de dépassement, le propriétaire encourra une amende civile de 15 000 euros. L’unification des contrôles du changement d’usage La loi permet à toutes les communes d’adopter le dispositif par délibération, sans autorisation du préfet. De plus, les communes dotées d’un règlement de changement d’usage pourront étendre ce règlement à tous les locaux qui ne sont pas à usage d’habitation. Cette mesure est destinée à réguler les pratiques des investisseurs qui transforment des bureaux en meublés touristiques. La régulation par les copropriétés La loi Le Meur favorise la régulation des meublés de tourisme par la copropriété elle-même. À cette fin, elle dispose que les règlements de copropriété existants pourront être modifiés à la majorité simple (les deux tiers des copropriétaires, contre l’unanimité aujourd’hui) pour interdire la location d’appartements en meublé de tourisme. Si des propriétaires ou des locataires autorisés transforment leur logement en meublé de tourisme, ils devront en informer le syndic. À son tour, le syndic devra inscrire à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale des copropriétaires un point d’information sur les meublés de tourisme. La loi a prévu cette disposition pour limiter les conflits entre copropriétaires en levant l’anonymat du loueur, qui sera invité à prendre les mesures nécessaires pour limiter les nuisances induites par sa location touristique. La "petite ville" littorale de Cancale (5500 hbts) vient de voter en conseil municipal les principales orientations de cette loi pour les inscrire et les faire valider dans le PLU, y compris la limitation sectorielle du nombre de résidences secondaires. Alors que penser de notre commune littorale (9300 hbts) (*) PLU : Plan Local d'Urbanisation Le CODEPPI note l'écart entre les déclarations d'intentions de nos élus sur la priorité donnée au logement des actifs dans la commune et leur réelle volonté de se donner les moyens d'entrer dans une gestion plus claire du marché immobilier, ainsi que d'encourager la location de longue durée, face aux causes spéculatives et inflationnistes, leur permettant la régulation et la maitrise des locations de meublés touristiques. Il est temps aussi d'aborder une réponse plus structurante permise par la loi, comme la limitation sectorielle du nombre de résidences secondaires. LOGEMENT SOCIAL : NOUS VERIFIONS Depuis 2020, début du mandat actuel de la municipalité, les réponses aux besoins de logements aidés se heurtent à une pénurie de réserve foncière, et Un recensement inexploité des zones réservées à la commune dans les lotissements existants. Érigé en objectif prioritaire, le dossier est évoqué régulièrement avec la solution qui allait résoudre tous les problèmes : le bail emphytéotique et sa version adaptée au logement social (le BRS pour Bail Réel Solidaire). De fait aucun programme de logements sociaux n'aura été achevé dans cette mandature et proposé aux demandeurs (on parle de fin 2026) Lors du conseil municipal du 13 mars 2025, les « réponses » obtenues sont sentencieuses et démontrent que les attentes soulevées ne sont pas traitées. La réunion publique organisée le 25 mars pour faire le point sur le LOGEMENT, en présence de deux acteurs professionnels (DOMOFRANCE et AQUITANIS) du logement aidé et social avait pour but d’éclairer ce dossier sensible. Mais les réponses, ou plutôt les affirmations sentencieuses des experts invités n’ont pas levé le doute posé par les associations ASPLCF et CODEPPI mobilisées sur le sujet. Aussi elles décident de demander leur avis à deux autorités de tutelle de la politique publique en matière de Logement social : l’ANCOLS (Agence Nationale de Contrôle du Logement Social), et le bureau opérationnel DGALN/DHUP (Ministère Aménagement/Transition) Nos deux associations ne peuvent effacer le manque de justesse de la gestion de ce dossier et une stratégie implicite de la majorité municipale qui a tourné le dos au logement locatif permanent et abordable. (À suivre) ECHANGES IMAGINAIRES AUTOUR DE LA PISCINE, QUELQUE PART A LEGE CAP FERRET --> J'ai suivi la réunion publique sur le LOGEMENT (19 mars 2025 ndlr) , dit l’un --> Et tu as espoir que ton neveu trouve un logement en location sur la commune ? lui rétorque sa voisine --> Moi j'ai lu quelque part que notre commune est définitivement submergée par les résidences secondaires, et que la population habitant à l'année est vieillissante, déclare le plus jeune d'entre eux . --> Oui, et les résidents qui investissent sont soit amoureux du cadre de vie et veulent en profiter pour eux et leur entourage. Soit ils font un investissement spéculatif pour en tirer des revenus avec l'explosion depuis 20 ans des locations de meublés touristiques, ponctue une jeune mère de famille revenue vivre en France. --> C'est ce que nous avons fait il y a cinq ans et finalement avec mes enfants et petits enfants nous avons préféré arrêter. On envisage de de venir habiter ici pour notre retraite, explique le propriétaire des lieux --> Tu n'est pas le seul, mais en attendant les jeunes actifs locaux ne trouvent pas à se loger. Le marché de la location est très réduit et construire des logements aidés semble difficile, lui rétorque sa femme. --> Chers amis, il faut savoir ce que l'on veut. Bien vivre ici pour ses vieux jours c'est pouvoir bénéficier de plein de services de proximité qui nécessitent des actifs qui ne vont pas faire 50 kms par jour. C'est bien ce que nous fuyons après une vie de travail dans une métropole, confirme comme toujours le plus serein des convives, réputé pour sa magnanimité. --> Oui mais si c'est pour vivre en proximité de logements sociaux, pour moi, c'est NON! Assène sa voisine. --> STOP !Notre discussion va virer au vinaigre! On est là pour passer un bon moment! Rappelle la maitresse des lieux avant de poursuivre : Et puis finalement avec notre train de vie et nos relations, on arrive toujours à trouver des personnes qui nous rendent le quotidien facile. N'ai je pas raison? No comment ! comme ponctueraient les médias qui captent en permanence notre attention. LOGEMENT LOCATIF : LES LEVIERS RADICAUX (2 Agir sur les locations saisonnières) Avril 2025 Les locations de type AIRBNB*, deviennent une variable d’ajustement pour améliorer l’offre de logements locatifs permanents. Depuis quelques mois, la loi Le Meur du 19 novembre 2024, ambitionne de favoriser les locations permanentes, plutôt que les locations touristiques, au travers d’une série de mesures. Fiscalité : modification de l’abattement fiscal (régime l « micro BIC ») qui passe de 71% dans la limite de 188 700 euros, à 50% pour les meublés classés et chambres d’hôtes, dans la limite de 77 700 euros. Les meublés non classés voient leur abattement fiscal abaissé à 30% dans la limite de 15 000 € de revenus locatifs annuels(contre 50% dans la limite de 77 700 € jusque-là) Qualification du logement loué : obligation, pour les meublés de tourisme, de réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE), lors de la mise en location comme meublé de tourisme ( DPE situé entre A et E pour être loués. À partir de 2034, entre A et D) Restrictions possibles : pour les copropriétés qui peuvent interdire la présence de meublés de tourisme, mais aussi les dispositions légales permettant aux maires de réguler les meublés de tourisme sur leur territoire. Ils peuvent aussi limiter la durée de location annuelle d’une résidence principale, en passant de 120 jours actuellement à 90 jours. Contrôle de légalité : tout propriétaire transformant son bien en meublé de tourisme devra auparavant le déclarer en mairie, sous peine de 1000 euros d’amende. Modifications du PLU (Plan Local d’Urbanisme) pour les communes dans lesquelles les résidences secondaires excèdent 20% avec la fixation de quotas d’autorisation de meublés touristiques ou la définition de zones où seules les constructions de résidences principale seront autorisées. (*) et autres plateformes de location de meublés de courte durée Population en baisse, vieillissement, mutations urbaines accélérant l'écart socio économique entre le Nord et le Sud de la Presqu'ile, entre inactifs et actifs, quasi impossibilité pour des primo accédants pour trouver à se loger sur la presqu'ile... Communication, Informations publiques accessibles, déclarations et promesses, stratégies affichées, débats publics, le CODEPPI reste vigilant pour éclairer le chemin qui reste parcourir. Ce site, ses publications, sa richesse sont faits pour faire de nous tous des citoyens informés et engagés. LOGEMENT LOCATIF : LES LEVIERS RADICAUX (1 Limiter les résidences secondaires) Avril 2025 Pour notre commune le déséquilibre croissant entre résidences principales et résidences secondaires, impacte fortement le vieillissement tendanciel de la population et ses tendances baissières derrière presque dix ans de stagnation ( +/- 9000 hbts) L’attractivité de notre presqu’ile en est la principale cause, une attractivité avec un fort impact spéculatif sur le foncier. Avec une équation à somme négative pour notre population (gentrification c’est a dire réalisation d’un bien pour tirer le profit du marché par les générations vivant sur la commune et rachetant un bien sur un autre territoire + nouveaux entrants à fort pouvoir d’investissement et d’achat de services + spéculation foncière rendant difficile le montage de programmes de logements aidés pour maintenir des actifs sur la commune) Dans ce type de situation, deux leviers légaux et règlementaires sont possibles, encore faut il transgresser un statu quo qui dans une commune "riche", encore peu endettée, amène les décideurs à repousser à demain des tendances néfastes pour l'héritage laissé aux génération futures Deux leviers : -Agir sur pour garantir l’accès au logement pour tous, en favorisant la création de logements permanents et lutter contre la pression foncière -Agir sur les phénomène des location saisonnières ou de courte durée pour limiter voire rendre difficile l'investissement de ce type, à but spéculatif, pour prioriser la mise sur le marché de biens vacants (en locatif ou en accession pour des habitants cherchant un résidence principale) La promulgation fin 2024 de la loi Dite LE MEUR en gestation depuis plusieurs années devient une boite à outils pour les communes déstabilisées par une attractivité touristique, que ce soit à la montagne ou sur le littoral. Précurseur et acteur de la première heure, le maire de Chamonix, a franchi le pas pour ce qui concerne le premier levier et à l'occasion de la révision du PLU de sa commune, a instauré une stratégie audacieuse mais radicale lui permettant d'agir directement sur son ambition de création et de reconversion de 1000 logements pour les dix prochaines (à comparer aux 700 logements présentés par la municipalité récemment lors de sa réunion publique sur le logement (cf infra) De plus cette stratégie se revendique comme marquée par une ambition environnementale clairement revendiquée, conforme aux politiques publiques, et la volonté de contenir les infrastructures hôtelières pour maitriser la capacité d'accueil. Nous vous invitons à consulter le document joint qui explique et détaille ces mesures rendues possibles par la loi Le Meur. Le CODEPPI écoute depuis 10 ans ce maire précurseur et militant qui ose inscrire son action dans l'évolution raisonnée et contrainte des impacts des enjeux climatiques planétaires (cf les dossiers sur l'urbanisme et le logement accessibles sur l''espace adhérent" du Site. Document Ville de Chamonix - communiqué de presse LOGEMENT AIDE, LOGEMENT SOCIAL, MIXITE Conformité au code général des collectivités locales (mars 2025) Les conséquences des décisions prises par la municpalité dans les premières transactions d'un BRS (Bail Réel Solidaire)avec les acteurs DOMOFRANCE et AQUITANIS doivent se traduire par une stricte application du CODE GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES. Sur ce point, un habitant de notre commune, spécialiste en comptabilité publique et au demeurant membre du bureau du CODEPPI, Patrick Du Fau De Lamothe a adressé à Monsieur le Sous Prefet un mail en date du 8 avril 2025, 48 heures avant le conseil municipal du 10 avril. Selon l’article L.2241-1 du code général des collectivités territoriales rappelle t il, le bilan des acquisitions et cessions opérées sur le territoire d'une commune de plus de 2 000 habitants par celle-ci, ou par une personne publique ou privée agissant dans le cadre d'une convention avec cette commune, donne lieu chaque année à une délibération du conseil municipal. Ce bilan est annexé au compte administratif de la commune. Il mentionne que par courrier déposé le 10 janvier 2024, qu'il a rappelé les termes de cette obligation au maire de Lège – Cap Ferret , qui n'en a rien fait, ce qui constituerait un manquement de son obligation à faire appliquer les règles de droit Si l’ordre du jour du prochain conseil municipal de Lège – Cap Ferret, prévu le 10 avril 2025, est inscrite l’adoption du compte administratif (CFU), il ne prévoit pas, au préalable, la présentation au conseil du bilan des acquisitions et cessions des biens immobiliers er fonciers alors que l a municipalité a réalisé de multiples opérations d’acquisition et de cession foncière dans le cadre de sa politique de logement avec semble-t-il, un important déficit financier et qu'aucun plan pluriannuel ne vient conforter cette politique à court, moyen et long terme. Depuis nous avons reçu l'essentiel des décisions pries en conseil municipal du 10 avril, sans trace d'une quelconque régularisation conforme a la directive évoquée. Pour conclure son mail au sous préfet, il précise qu'il s'adressera à lui pour qu'il fasse respecter l’état de droit, mission qui lui incombe à travers le contrôle de légalité des actes des collectivités territoriales. Le CODEPPI soutient cette démarche citoyenne qui sauvegarde les intérêts des administrés de la commune LOGEMENT AIDE, LOGEMENT SOCIAL, MIXITE (Acte 1 mars 2025) Depuis 2020, début du mandat actuel de la municipalité, les constats relatifs aux besoins de logements aidés étaient identifiés : Une pénurie de réserve foncière, Un recensement inexploité des zones réservées à la commune dans les lotissements existants. Erigé en objectif prioritaire, le dossier était évoqué régulièrement avec la solution miracle qui allait résoudre tous les problèmes : le bail emphytéotique et sa version adaptée au logement social ( le BRS pour Bail Réel Solidaire) Le temps passe et les actes de la municipalité se perdent dans des conjectures qui évoquent la difficulté à acquérir du foncier, a privilégier le Nord Bassin pour cette raison, a passer du temps sur des tractations entre des parcelles au Sud valorisées pour obtenir un ration de 3 à 4 fois plus de foncier au Nord, le projet médiatique mais jugé hors de portée du centre de vacances des Grépins au Cap Ferret (cf sujet sur le site) comme solution pour des Logements aidés etc... En cette fin de mandat. Le maire s’active à l’approche des prochaines élections municipales en mars 2026, car factuellement, à cette date, aucun programme de logements sociaux n'aura été achevé dans cette mandature et proposé aux demandeurs (on parle de fin 2026) La presse se fait l’écho de questions sur le sujet, posées lors du conseil municipal du 13 mars 2025, mais les « réponses » obtenues sont sentencieuses et démontrent que les attentes soulevées ne sont pas traitées. La réunion publique organisée le 25 mars pour faire le point sur le LOGEMENT, en présence de deux acteurs professionnels (DOMOFRANCE et AQUITANIS) du logement aidé et social avait pour but d’éclairer ce dossier sensible. La municipalité a-t-elle convaincue ? Si la presse locale fait preuve de neutralité dans son compte rendu, elle occulte une animation de l’évènement, marquée à nouveau par des réponses, ou plutôt des affirmations sentencieuses des experts invités. Les interventions de plusieurs conseillers municipaux de l’opposition, inspirés par des représentants de demandeurs de logements aidés et par l'analyse de sachants des associations attentives à ces sujets, ont fait que pour nous le compte n’y est pas. Le doute persiste sur la solidité des projets évoqués. Aucune allusion au Plan Local d’Habitat retenu par la COBAN (*). Qu'est il de la volonté de la municipalité de transformer les réserves constituées dans certains lotissements ? A t elle démontré qu’elle ne tourne pas le dos à la mixité sociale ? (*) Communauté du Bassin d'Arcachon Nord Nous dénonçons les cessions de terrains à Domofrance qui selon notre analyse n'auraient été guidées que par des considérations purement politiciennes et pré-électorales. Nous en voulons pour preuve: La transaction consentie par la Ville à Domofrance a pour conséquence plus de 700 000 € de perte sèche. Or le montage de l’opération de l’avenue du Médoc (Lège Bourg) en BRS-locatif aurait selon notre analyse permis de relever sensiblement le niveau du prix de cession du foncier (est ce que l a gestion des superficies de bureaux a été intégrée dans les calculs prévisionnels du bailleur Domofrance ? ) L’adoption par la municipalité d’une vente de ces 3 terrains signifie-t-elle l’abandon de la doctrine maintes fois répétée du maintien des fonciers dans la propriété de la Commune ? En l’absence de dispositions précises dans les projets de promesse de vente avec Domofrance, comment la municipalité entend elle obtenir des opérations de construction de qualité, conformes à ses souhaits et à l’esprit des villages ? Toujours en l’absence de dispositions précises dans les projets de promesse de vente, comment la municipalité pourra-t-elle intervenir dans l’attribution des 4 BRS évoqués pour les prochaines années? Nous pensons que la municipalité n'a pas approfondi les conditions de cette cession, et qu'elle a accepté, comme une vérité révélée, l’affirmation de Domofrance (et semble-t-il d’Aquitanis), selon laquelle un bailleur social ne pouvait pas acheter des terrains à un niveau supérieur à 150 €/m2. (Certes ces sujets sont "très techniques" et difficiles à aborder mais nous tenons à disposition de nos lecteurs les documents explicites) Les contribuables que nous sommes ne peuvent effacer le manque de justesse de la gestion de ce dossier et une stratégie implicite de la majorité municipale qui a tourné le dos au logement permanent et abordable. Elle contribue à creuser le fossé entre un bourg au Nord où sont concentrés presque tous les investissements publics et un Sud de la Presqu’île abandonné aux appétits des investisseurs et spéculateurs immobiliers. A suivre NORMALISATION DE LA DELEGATION DE SERVICE DE GESTION DU PORT DE LA VIGNE Le CODEPPI soutient l'action citoyenne d'un administré de la commune, Monsieur Patrick Du Fau de Lamothe, par ailleurs administrateur du CODEPPI et membre du Bureau. L'utilisation des mentions "Port privé", le dossier de réfection du port mené en 2020-2021, l'ont amené à examiner le cadre légal et règlementaire de ce port , la gestion des relations entre commune et société du port. Ses travaux ont consisté : à rappeler qu'il n'existe aucun "port privé" sur le littoral français, seul l'état est détenteur de la domanialité qui est inaliénable. à rappeler qu'il ne pouvait exister d'autre cadre pour cette relation imbriqué, entre l'Etat qui a délégué la gestion du port à la commune, laquelle a établie une Délégation de Services avec la société constituée dès la création du Port. La production de nombreuses pièces administratives et comptables a été fastidi-euse car nécessitant le recours auprès de la CADA (autorité administrative de droits à l'information de citoyens) et des injonctions de cette dernière à la société du port et à la commune pour communiquer les dits documents Sur la base de ces documents, M du Fau de Lamothe a mis en exergue des dysfonctionnements et des anomalies dans les comptes respectifs de deux parties, notamment ceux liés à la durée de la délégation, le rappel d'un nouvel appel d'offres lancé à cette échéance, la traçabilité dans les comptes du délégataire es "biens de retour" et leur incidence dans le comptes administratifs de la commune Ces différents éléments ont pu être exposés à l'Assemblé générale de la Société Délégataire à l'été 2023 en présence du commissaire aux comptes. D'autres aspects légaux font l'objet d'un retard dans leur application notamment l'instauration d'un comité portuaire et d'un comité local des usagers permanents du port (CLUP) Le CODEPPI suit l'avancement de ces éclairages apportés par notre administrateur qui permettent de rétablir la recherche de l'intérêt général des administrés et usagers de notre commune. Il est regrettable que des bénévoles, dépourvus de moyens, ostracisés le plus souvent dans leurs actions, ne soient pas entendus, sans être obligés de faire parler le droit. OFFRE DE TRANSPORTS PUBLICS Nous répétons depuis 2019, qu’aucune étude ayant l’ambition de proposer un schéma d’évolution de l’aménagement de notre commune ne peut le faire en se passant d’une « enquête ménage » et pas sur l’avis de quelques personnes censées maitriser le sujet. (Une de nos critiques sur l’étude ADS- Aménagement Durable de la Station – Balnéaire) Nous avons en partie été satisfait de découvrir récemment une telle étude menée à l’échelon de la Gironde (juillet 2023) qui souligne le recul de la voiture dans les usages, la stagnation des transports en commun et la percée relative du vélo (*) (*) Enquête menée entre septembre et décembre 2021 sur 11.545 ménages de Gironde et de sept communes du nord des Landes représentant 17.000 personnes. Démarche financée Bordeaux Métropole, le département de la Gironde, la région Nouvelle-Aquitaine, l'État, la Cobas et la Coban. Moins de déplacements globalement à l’échelle du Département. Premier enseignement, la population girondine effectue moins de déplacements : elle est passée de 3,9 à 3,4 déplacements par jour et par personne entre 2009 et 2021. Ainsi, la hausse du nombre total de mobilités quotidiennes sur le département est cantonnée à 2 %, alors que dans le même temps la hausse démographique s'est portée à 15 %. Respectivement, un quart et un cinquième des Métropolitains et non-Métropolitains disent télétravailler au moins une fois par semaine.En toute logique, les trajets effectués sur Bordeaux Métropole sont plus courts en distance que sur le reste du département : 26 kilomètres en moyenne contre 39. En revanche, les Métropolitains passent plus de temps dans les transports, plus d'1h15 par jour en moyenne. Des données stables par rapport à 2009.La part de la voiture cale, mais reste devant. C’est un grand paradoxe que met en avant l'étude. Alors que le nombre de voitures a largement augmenté (+13,7 % en 12 ans, et même +19 % en dehors de la Métropole), le nombre de déplacements effectués avec ces véhicules a largement diminué : -20 % pour les Métropolitains, -4 % pour le reste du département. Mais tout de même, elle reste de très loin, le moyen de transport plébiscité en Gironde puisque 59 % des déplacements girondins sont effectués en voiture. Un chiffre en recul de 9 points par rapport à 2009. 92 % des Girondins hors Métropole sont véhiculés. Si l'usage de la voiture recule, il n'y a pas un mode de transport qui en bénéficie plus qu'un autre. En Gironde, la part modale des transports en commun n'augmente que de 2 %, tout comme celle du vélo. Une hausse très limitée qui permet à la marche à pied de conserver la deuxième place des moyens de mobilité les plus plébiscités.Certains élus, réclament la création d'un syndicat départemental pour organiser la gestion des mobilités et réguler les flux. Proposition qui mérite réflexion. Le CODEPPI regrette une fois de plus les clivages entre instances concernées par les usages des différents modes de mobilités et la fréquentation de notre territoire. On retarde ainsi l’émergence de stratégies adaptées aux enjeux de territoire . (sources : sites Régions NA, COBAS, COBAN, La Tribune Gironde) AVENIR DES PERRES SUR LA COTE NOROIT DE LÈGE CAP FERRET Mis en évidence par les épisodes tempétueux de l'automne 2023, conséquence de l'actualisation du PPRL de la commune et l'adoption d'un scenario prédictif plus réaliste, la cote noroit de la commune de Claouey à Piraillan, de Belisaire au Mimbeau, et de la Pointe du Ferret, doit faire l’objet sans attendre d'un plan de travaux de construction, de réfection d'ouvrages de défense, pour la phase transitoire prévue par les politiques publiques (horizons 2030 à 2050) L'attention est portée sur les ouvrages existants, tels que perrés en pierre, perrés en bois, pontons ou accès à l'estran. L'Etat en 2018 a procédé progressivement à l'actualisation des AOT (autorisation d'occupation temporaires) des riverains "en première ligne", procédure préalable à l'élévation d'un ouvrage , sa réfection, son entretien. Plus récemment, 2020-202, il a procédé avec la commune à un audit des pontons et autres escaliers ou cales d'accès à l'estran depuis les propriétés. Il ressortait de ce travail état des lieux, que la majorité de ces ouvrages étaient "illégaux" (absence d'AOT, élévation sans autorisation, dispositifs contraires à la sécurité des personnes ou intrusifs sur l'usage des plages ou la pratique du nautisme) Enfin l'urgence de situations récentes, comme la détérioration importante de l'estran et la dune du Truquet (Jacquets-Piquey) met la municipalité (et l'ONF dans le cas cité) d'avoir à statuer dans l'urgence. Le CODEPPI propose un groupe de travail participatif avec la commune et les instances associées, pour pouvoir apporter son expérience du terrain, faire part des sensibilités à respecter et contribuer à la pédagogie nécessaire pour obtenir la résilience de la population concernée. DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE A LCF -DERRIÈRE LES MOTS décembre 2022 Nous vivons une « année particulière » marquée par la canicule, les feux de forêt hors normes, une conjoncture économique et politique qui nous confronte, quotidiennement, à de nombreux défis. Blottis entre mer, dunes et forêts, notre vie sur la Presqu’île peut nous faire oublier un peu enjeux de société. Mais ne nous laissons pas aller à nous mettre « entre parenthèses ». Notre municipalité nous donne le sentiment au travers de ses réponses apportées de mettre en œuvre des stratégies douteuses dont nous dénonçons ici la volonté d’utiliser les éléments d’une « fabrique du consentement » Avec la mise en œuvre des comités de quartier ou de village façon locale, nous dénonçons l’usage de la stratégie de la distraction qui consiste à détourner l'attention du public des mutations importantes auxquelles nous devons nous atteler grâce à un flot de distractions et d'informations insignifiantes. Elle est d'inspiration romaine et antique :« panem et circenses » (du pain et des jeux). Avec les slogans « la haute saison c’est deux mois difficiles à passer » ou encore « les habitants de LCF surestiment leur ressenti lié à la fréquentation » la municipalité détourne notre attention sur un sujet récurrent pour lequel il est plus facile de nous désinformer pour nous maintenir dans la culpabilité (nous exagérons les impacts et surestimons notre ressenti), l'ignorance (on échange des données chiffrées sans préciser leur source) et notre incapacité à fonder une opinion. Avec la répétition à l’envie depuis trois ans des « priorités » relatives au logement, logement social et logement des saisonniers la municipalité nous donne le sentiment d’utiliser une stratégie du pourrissement tant elle peine à produire un programme et à le réaliser, en justifiant la recherche du montage technique et financier le plus accommodant à ses yeux Ne nous contentons pas de communication rassurante sur les sujets qui peinent à être traités. Observons les pratiques de nos territoires proches pour nous comparer, pour nous encourager à aller plus loin. Exigeons des débats simples et publics, c’est-à-dire ouvert à tous où la municipalité se confronte sur le terrain au questionnement de ses administrés. Nous n’avons pas d’a priori sur sa capacité à trouver les réponses adaptées. Nous exigeons qu’elle se donne les moyens d’écouter, de confronter sa légitimité à gérer les affaires communales , aux administrés impliqués, responsables, soucieux avant tout de comprendre pour être convaincus. L'AVENUE DU TRUC VERT EST A NOUVEAU DÉLAISSÉE De 2018 à 2021, le Collectif "Mieux VIvre aux Jacquets" du CODEPPI, a instauré un dialogue constructif avec la municipalité, qui a permis de répondre au sentiment "d'abandon' des habitants et résidents de ce village. Parmi les sujets étudiés, la traversée du quartier dit "post 1930" coincé entre le CD 106 et l'Avenue du Truc Vert. Les phénomènes de bouchons sur l'axe d'accès aux plages océanes mettaient en exergue : la non réalisation d'un échangeur de type "rond point" à l'intersection CD 106/Truc Vert, inscrit dans le PLU 2019 et permettant de réguler le flux entrants et sortants l'instauration d'une solution de protection du quartier traversant la sécurisation de la circulation piétons et vélos sur l'avenue Truc Vert, conformément à la suppression des interruptions de voies cyclables dénoncées par l'étude CEREMA de 2018 pour la COBAN l'entretien de cet axe d'accès aux plages océanes et le questionnement que nous portons sur le statut communal de cette liaison à trafic intense, alors que tous les autres axes à fort trafic gérés par le Département. Et l'exemple de la route forestière du Grand Crohot confiée à la gestion du Département. En 2021 la municipalité décidait de tester des "barrières" dont une interdisant la traversée du quartier traversant, un dispositif confié à la police municipale. En cette même année elle accélérait le projet initié dans le dialogue constructif entre CODEPPI et commune pour la réalisation de la continuité d'une piste cyclable protégée reliant celle de Claouey aux Jacquets, puis à celle parallèle de la route forestière du Truc Vert. Profitant du nouveau cadre réglementaire sur les "voies vertes", une voie verte a été mise en service dès la saison 2022. Ces dispositifs, barrière + voie verte, mériteraient de faire un bilan d'étape et de revoir: le rôle d'un rond point à l'intersection des axes 106-Truc Vert l'entretien de la chaussée principale de l'axe Truc Vert qui n'a pas fait l'objet d'une réfection depuis presque 10 ans, alors que des tronçons importants du 106 font l'objet d'une réfection de surface l’amélioration de la sécurisation piétons et vélos (lisse de protection, passages protégés en nombre suffisants enfin l’aménagement de dispositifs de respect de la vitesse limitée à 50 et l'interdiction de dépassement (plateaux de sécurité, radars pédagogiques...) LA COMMUNE QUE NOUS VOULONS EN 2050 (en dix points) (extrait de notre lettre information de novembre 2023) Révision du PLU en cours, SCOT à venir, il était naturel que nous répondions à cette question. Et vous quelle commune souhaitez vous en 2050? 1. Une commune sur le chemin de la résilience, pour être mieux adaptée aux enjeux climatiques et aux risques majeurs 2. Une commune en adéquation avec ses ressources naturelles 3. Une forêt massive et protectrice de notre ancrage sur du sable, véritable poumon vert 4. Un bassin apaisé, à la biodiversité stable, au nautisme vertueux, véritable poumon bleu 5. Une commune engagée dans une offre de logements aidés aux actifs et partagée entre les différents pôles urbains. 6. Un centre de gravité de la gouvernance communal, progressivement ramené à équidistance du Nord et du Sud 7. Une architecture localisée sur les ressources en matériaux : modulable, démontable et transportable, et sur des énergies localisées : photovoltaïque, géothermie, éolien, biomasse) 8. Une part voiture < 60% (contre 82 % aujourd’hui) 9. Un tourisme éco responsable en dessous du seuil d’acceptabilité de la population et de saturation des milieux 10. Une offre de santé locale et une « silver économie (*)» dynamiques, en rapport avec les attentes d’une population vieillissante 1. (* ensemble des produits et services, à destination des seniors, qui se développent avec le vieillissement des Français) SUBMERSION : UN ÉVEIL DOULOUREUX Extrait de notre Lettre d'Information novembre 2023 Le phénomène des tempêtes est courant sur notre littoral. Elles ont été souvent à l’origine de tragédies humaines et de dégâts matériels. La tempête Xynthia en février 2010 a été, en France, l’élément déclencheur d’une prise de conscience de la vulnérabilité de nos littoraux (rappel : 53 morts, destruction de 1162 maisons entre 2010 et 2013 situées dans 15 communes, indemnisation pour un montant évalué entre 2,5 et 4 milliards d’euros). Sur notre commune la pression de l’habitat est allée de pair avec le tourisme à compter des années 1960 tandis que les schémas d’urbanisation favorables aux détenteurs d’un pouvoir d’achat élevé, ont principalement profité aux retraités, avec pour conséquence leur profonde réticence au changement surtout quand il s’agit de délocaliser Ce qui a changé la vulnérabilité de notre commune, c’est l’accroissement des enjeux humains et fonciers avec une urbanisation à proximité de la mer, poussée par un modèle de développement aveugle orienté vers le tourisme et un message subliminal : « ici tout est possible ». Aujourd’hui nous sommes plongés brutalement dans cette triste réalité : oui, nous serons impactés par la submersion, par la nécessité de reculer, de relocaliser. Dans ce domaine, comme dans d’autres qui concernent la protection de notre environnement, le CODEPPI et le monde associatif sont là pour réveiller les consciences, amener les élus à affronter avec détermination et courage ces enjeux incontournables. Comme le disent les spécialistes qui nous aident à anticiper, à nous adapter, sans perdre de temps : « la France dispose d’un arsenal juridique important en matière de gestion des risques naturels. Celui-ci s’avère néanmoins peu mis en œuvre » A nous de changer la donne. Faites l’expérience CODEPPI Recevoir notre Lettre d'Information Merci de nous adresser un court mail sur contact.codeppi@gmail.com Votre Prénom Votre adresse email Votre Département de résidence (code postal) Précisez si vous êtes: Habitant de LCF , Résident à LCF , Familier de LCF Nous rejoindre Si vous souhaitez vous aussi participer en devenant adhérent et membre actif de l’association , n’hésitez pas à nous contacter (cf contact) Vous pouvez aussi télécharger le bulletin d’adhésion ci-dessous et nous le renvoyer, accompagné de la cotisation annuelle (15 euros) Télécharger le bulletin d'adhésion -->

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    LES RISQUES MAJEURS Risque incendie de Foret-Risque Inondation Risque Erosion-Submersion du Trait de Côte Traitement eaux usées et eau pluviales EROSION, NOUS SOMMES DEJA DANS L'URGENCE. Dans une interview réalisée par le journal SUD-OUEST, le CODEPPI rappelle que, côté bassin, le recul de 60 mètres à 100 ans envisagé par l'Etat, n'est pas une nouveauté de l'année et qu'il est déjà assujetti de souplesse possible. Le CODEPPI réagit à la bronca du printemps et de l'été 2025, avec le point d'orgue qu'a été la réunion publique du 1er juillet organisée par l'Etat, à propos de "la bande de 60 mètres inconstructible que l'Etat envisage de Bélisaire à Claouey", intégrant pour cela le taux d'érosion annuel moyen, des évènements exceptionnels et l'élévation du niveau de la mer. Le maire et des associations de propriétaires se sont liguées en déclarant vouloir vouloir réaliser une étude « scientifique (?) » de cette zone. De fait, il s’opposait à l’inconstructibilité de cette bande, inconstructibilité comprise, à tort ou par calcul, comme une inconstructibilité totale. Or, à la lecture du guide méthodologique de 2014, qui est la référence pour l’élaboration du PPRL, on comprend aisément que l’on est très loin de l’inconstructibilité totale, car il est stipulé que sur ces zones d'aléas forts, la souplesse est possible selon les secteurs en termes d'aménagement ou de construction. Au delà de ces controverses, le CODEPPI interroge : "il s'agit aussi de savoir si on veut protéger la presqu'ile et les gens...ou la valeur des biens qui s'y trouvent." Découvrez ci après l'article du journal Sud-Ouest et l'extrait du guide méthodologique datant de 2014 pour la réalisation du PPRL, guide actualisé à chaque évolution du cadre légal concerné. Document SUD-OUEST 21 Aout 2025 . Y Delneste Document PPRL Guide méthodo 2014-souplesse dans la constructibilité Consulter article suivant REVISION DU PPRL DE LEGE CAP FERRET : POINTS CLE POUR RELATIVISER LES "ATTENTES THEATRALES » ENTENDUES LE 1er JUILLET(*) (* Lors de la Réunion Publique organisée par l'Etat à La Forestière au Cap Ferret) Rappel du contexte climatique Si le réchauffement climatique poursuit sa trajectoire actuelle jusqu’à 3,2°C en 2100 (moyenne globale mondiale), loin des objectifs de +1,5°C - +2°C fixés lors de l’Accord de Paris, la hausse du niveau de la mer aura d’autant plus d’impacts sur les phénomènes d’érosion du trait de côte et de submersion marine. Depuis mars de cette année des prévisions complémentaires de Météo France ou de l'OFB évoquent une forte probabilité, pour 2100, de vivre des épisodes à +4° en France Métropolitaine, soit +4,6° sur notre latitude du Bassin d'Arcachon. Quelques centimètres d’augmentation du niveau de la mer peuvent être très conséquents en cas de tempête et engendrer une pénétration des mers dans les terres. La remontée du biseau salé qu’occasionnerait l’avancée de la mer pourrait aussi diminuer les ressources en eau douce, maximisant la tension sur cette ressource vitale lors des pics saisonniers. L’impact du réchauffement climatique sera également important pour les écosystèmes et la biodiversité, notamment du fait du réchauffement et de l’acidification croissante de l’océan. La dissociation entre l’érosion et la submersion Aux termes de la loi Climat et résilience, l’érosion est désormais considérée comme un phénomène prévisible. Elle se différencie de la submersion, considérée comme un aléa naturel imprévisible. Cette dissociation artificielle entre les deux phénomènes exclut de l’indemnisation du fonds Barnier l’ensemble des habitats, activités et autres espaces concernés par l’érosion, à la différence de la submersion, couverte, elle, par le fonds Barnier. La stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte La loi Climat et résilience consacre une stratégie nationale de gestion int égrée du trait de côte initiée en 2012, puis dotée d’un programme d’actions en 2017. Cette stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte opère désormais un transfert de responsabilité aux collectivités locales et leur met à disposition des outils pour adapter leur action en matière d'urbanisme et leur politique d'aménagement face au recul du trait de côte. Les communes concernées par le recul du trait de côte, qui à ce titre, seront dotées de ces outils, sont identifiées dans une liste fixée par décret. A ce jour seules 128 communes se sont portées volontaires. Notre commune fait partie des 128. La nouvelle cartographie des zones exposées au recul du trait de côte Dans un délai de quatre ans, ces communes concernées qui se sont portées volontaires, vont devoir cartographier les zones qui seront impactées d'ici 30 ans et celles qui seront impactées dans 30 à 100 ans. Dans les zones exposées au recul du trait de côte à l’horizon de 30 ans, le principe est celui de l’interdiction des nouvelles constructions .Dans les espaces urbanisés de ces zones, seuls seront autorisés : •les travaux de réfection et d’adaptation des constructions existantes, •les constructions ou installations nouvelles et démontables nécessaires à des services publics ou à des activités économiques exigeant la proximité immédiate de l’eau, •les extensions des constructions existantes démontables à la date d’entrée en vigueur du PLU délimitant les zones. Dans les espaces non urbanisés, seules seront autorisées les constructions ou installations nouvelles démontables qui sont nécessaires à des services publics ou à des activités économiques exigeant la proximité de l’eau. Dans les zones exposées au recul du trait de côte à un horizon compris entre 30 et 100 ans, le texte prévoit la démolition de toute construction nouvelle et des extensions des constructions existantes lorsque le recul du trait de côte est tel que la sécurité des personnes ne pourra plus être assuré au-delà d’une durée de trois ans Il est prévu dans la loi Climat et résilience que le coût de démolition est consigné à la Banque des Territoires (dans l'attente du décret d'application). Les autres dispositions de la loi Climat et Résilience La loi institue un droit de préemption au profit des communes figurant sur la liste établie par décret. L’objectif est de Prévenir les conséquences du recul du trait de côte sur les biens qui y sont situés. Ce droit est acquis d’office dans l’intégralité de la zone exposée au recul du trait de côte à l’horizon de 30 ans. Il peut être accordé, à titre facultatif dans tout ou une partie de la zone exposée à l’horizon de 30 à 100 ans. Les documents d’urbanisme doivent par ailleurs être adaptés. Le recul du trait de côte sera ainsi pris en compte dans les schémas de cohérence territoriale (Scot) et les plans locaux d'urbanisme (PLU). « Les plans de prévention des risques naturels devront également être révisés en cohérence avec la nouvelle cartographie. Et les schémas régionaux d'aménagement et de développement (Sraddet) devront identifier des territoires de relocalisation. Quant aux informations sur l'érosion du trait de côte, elles devront être intégrées dans les Informations Acquéreur Locataire (IAL)L'ordonnance du 6 avril 2022 complète la loi avec de nouvelles dispositions L’ordonnance accorde des dérogations à la Loi littoral de 1986 aux communes particulièrement touchées par le phénomène du recul du trait de côte. Ces dérogations sont prévues pour faciliter la mise en œuvre des opérations de relocalisation des installations et constructions menacées par l'érosion  L’ordonnance prévoit aussi la création d’un bail réel d’adaptation à l’érosion côtière. « Il comprend un mécanisme de résiliation anticipée, en fonction de l’évolution de l’érosion, si la sécurité des personnes et des biens ne peut plus être assurée  L’ordonnance définit enfin une méthode d’évaluation de la valeur des biens exposés au recul du trait de côte, à horizon de 30 ans. Quels financements pour recomposer le littoral ? Un fonds, financé par l’État, est prévu pour accélérer la transition écologique dans les territoires.  Il prévoit le financement à 80 % des nouvelles cartographies d’exposition au recul du trait de côte, produites par les communes qui sont sur la liste ou demandent à l’être  Et pour ces mêmes communes, il prévoit également le financement des projets partenariaux d’aménagement et notamment des projets de recomposition territoriale Enfin un comité national d’érosion du trait de côte a été créé le 14 mars 2023. Il est chargé d’évaluer les besoins et les principes des règles de financement, de construire un consensus sur le modèle économique de la recomposition spatiale des territoires littoraux, et de définir plusieurs scénarios de modèles économiques impliquant l’État, les collectivités et les propriétaires. Il est présidé par Mme Sophie Panonacle, députée de la 8ème circonscription de Gironde L’ensemble de ces éléments permettent de restituer dans le contexte les tensions nées de la finalisation du PPRL de Lège Cap Ferret. Le CODEPI reste convaincu que l’État poursuivra le processus en cours avec la méthodologie adaptée. Il mettra à disposition de tous, l’ensemble des travaux, études et documents sur un site public prévu cet été.(ouvert le 22 juillet) Il ne remettra pas en cause ni le zonage élaboré ni les règlements associés (Règles générales d’Utilisation du Sol, Règles de Construction, Règles de Limitation de la Vulnérabilité). Il a dès lors planifié la finalisation et la validation du nouveau PPRL fin 2025, tout début 2026. Les cartographies souhaitées par certaines parties devront tenir compte de cette feuille de route de l’Etat Consulter article suivant PPRSM, PPRL, SLGTC, COMMENT SORTIR DE L’IMPASSE ? Face aux effets de la submersion et de l’érosion sur nos littoraux, le CODEPPI milite pour un élargissement de la réflexion à l’ensemble du Bassin d’Arcachon , car il est nécessaire d’adopter le bon périmètre pour accélérer la prise de conscience de la mesure des enjeux et des risques par les habitants et résidents. Est-ce que les « frontières » communales ou inter communales (celles des EPCI, COBAN et COBAS par exemple) sont réellement significatives pour apprécier un travail de Prevention conduit par l’État et un travail de Protection sous la directive des communes ? Il est temps de se poser cette question, qui peu ou prou transpire déjà dans les débats, à l’occasion de la révision des différents PPR (Plan de Prévention des Risques), des PLU (Plan Locaux d’Urbanisation). Sur les communes littorales du territoire du BA , aucune initiative de type PLUi, le « i » pour Intercommunal, n’a surgit à ce jour. (Et pourtant les exemples ne manquent pas, ne serait-ce qu’en Gironde, sur le recours à ces périmètres plus réalistes pour aborder la gestion d’un territoire donné) Le CODEPPI rappelle depuis 2019 et les premières réunions prémices à la révision du PPRL, que la compétence GEMAPI initialement dévolue à la COBAN ( EPCI Nord Bassin) a été transférée par celle ci au SIBA en charge donc, de la partie OPERATIONS avec comme objectif l'élaboration d'une SLGTC pour le Bassin d'ARCACHON. Or depuis bientôt six ans, le SIBA dont la maire de Lège Cap Ferret est vice président déroge à cette obligation légale en produisant des SLGTC (2023 et 2027) pour la seule commune de Lege Cap Ferret. Ce mouvement est en croissance et notre analyse, permettent de comprendre pourquoi cette réflexion est « dans l’air du temps ». le fonctionnement communal n’en serait pas affecté, mais facilité. Les prérogatives des maires et de leur conseil municipal ne sont pas remises en cause. la gestion de la prise en compte de l’environnement, aussi bien en matière de Prévention que de Protection, s’en trouverait facilitée cette approche constituerait la meilleure réponse pour nos élus qui continuent à dire : « cette question je m'en occuperai quand j'aurai du temps » et restent, pour beaucoup d’entre eux, prisonniers d’un schéma de pensée obsolète. Si notre environnement est menacé par des transformations radicales, à des horizons pas si lointains que cela, il est temps de se rappeler que s'il n'y a plus d'environnement vivable, il n'y a, peut-être, plus rien d'autre ! (*) PPRSM : Plan de Prévention des Risques de Submersion; PPRL Plan de Prévention des Risques Littoraux, GEMAPI : GEstion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations, PLU:Plan Local d'Urbanisation, PLUi :Plan Local d'Urbanisation Intercommunal Consulter article suivant UN AUTRE REGARD SUR LA REUNION PUBLIQUE DU 1er JUILLET (2) Un point de vue clair auquel souscrit le CODEPPI. Le CODEPPI tire les leçons de la réunion publique organisée par l’État le 1er juillet, dans le cadre de la révision du PPRL de Lège Cap Ferret et vous offre la lecture d'un Billet d'Humeur de Jacques STORELLI, avocat, Président de la CEBA (Coordination Environnementale du Bassin d'Arcachon) Mon expérience de plus de trente années de bénévolat associatif en Gironde, et notamment sur le Bassin d'Arcachon, m'a montré que globalement une certaine sociologie, que l'on peut qualifier de culturellement et économiquement "confortable", a eu tendance depuis René Dumont et Jacques Ellul, à nourrir un négationnisme plus que soutenu au sujet de l’impact des activités humaines sur la nature et sur la question du changement climatique. D'un certain mépris pour la cause environnementale et leurs acteurs, on est passé, plus récemment à toutes sortes de raisonnements politico filandreux consistant tous, à décrédibiliser le GIEC et toute autre organisation scientifique environnementale, comme si l'essentiel était, -->1 de ne jamais avoir à modifier sa manière de vivre ou à concéder quoique ce soit de son confort personnel, -->2 d’élaborer toutes sortes de justifications dans le dessein inavoué de pouvoir se dispenser de tout effort de préservation du Bien Commun, que sont la Nature, les Océans, la Forêt, l'Air, l’Eau, la Biodiversité... Ce prisme égocentré, si dissonant au regard du niveau des enjeux en question, peut surprendre de la part de diplômés C++ qui ne peuvent ignorer que la question climatique peut causer des bouleversements économiques, migratoires et politiques gravissimes pour l'avenir de l'humanité. Ce qui interroge également c'est la culture du défoulement estival sur le Bassin d'Arcachon, alors que la nature y est si fragile et si meurtrie. Un cortège d'usages tapageurs accompagne le phénomène, que ce soit sur l'eau, sur terre, la nuit, ou le jour, à l'aide de toutes sortes d'engins à moteur, quads, 4×4 ou motos dans la forêt, fat bikes et drones sur les plages, sorties en hélicoptères, jet skis... Il est curieux que jamais, ceux qui peuvent acheter des maisons entre 1 et 28 millions d'euros, ne trouvent pas une seconde pour soutenir financièrement les associations environnementales qui portent toute l'année des contentieux très lourds, et qui satisfont à un devoir de vigilance permanent dans un climat d’adversité bien établi, ou pour constituer une fondation destinée à protéger de ce qui constitue l'extraordinaire attrait aussi magnétique que poétique du Bassin d'Arcachon. Curieux...à un moment où la Nature n'en peut plus, où les eaux usées débordent dans le Bassin, tant l'artificialisation, la bétonisation à outrance, la fuite en avant démographique et le surtourisme font des dégâts croissants et irréversibles. A quand la sortie de la culture du déni et du règne de l'irresponsabilité ? Droit devant ! Jacques Storelli Président de la CEBA Consulter article suivant ON AVAIT UNE PRESQU’ÎLE À VIVRE, C’EST DEVENU UNE PRESQU’ÎLE À VENDRE. (1) Le CODEPPI tire les leçons de la réunion publique organisée par l’État le 1er juillet, dans le cadre de la révision du PPRL de Lège Cap Ferret Nous avons soutenu cette initiative alors que d’autres participants aux travaux dans le cadre du CoCoas s’y opposaient. Elle aura permis de rappeler le cadre légal et règlementaire dans lequel agissent l’État et son objectif de proposer une vision prospective sur la PREVENTION, et la collectivité locale et son objectif de proposer une vision prospective sur la PROTECTION. Mais nous sommes sur une presqu’ile qui a toutes les raisons de tourner le dos à son avenir. C’est un territoire qui vit, non pas sur sa richesse naturelle, mais sur ce que génère le foncier et l’immobilier. Un territoire construit sur du sable et soumis au travail patient et efficace des forces de la nature. Pour certains, Propriétaires de « La Pointe », qui aimeraient que tous les autres se reconnaissent derrière leur revendication, tout en admettant la nécessité de respecter une zone de non-constructibilité conformément à la Loi Littoral, là où les aléas et donc les risques prédictibles sont patents, ils expriment le souhait de pouvoir ériger des « constructions en bois et sur pilotis » pour s’adapter à la transition climatique… Pour d’autres, derrière le maire, qui déclare qu’il y a lieu de s’écarter des travaux en cours, qui s’appuient sur une gestion durable de l’érosion et du recul du trait de côte, mais sans « garantir » la pérennité des ouvrages existants ou renforcés de la côte Noroit intra Bassin. Un maire qui veut ignorer la prédictibilité d’une « rupture » possible dans le temps où il faudra laisser faire la nature. Alors il faut soutenir l’initiative du maire car elle permettrait de continuer à construire sans trop de contraintes prédictibles Mais pour un politique, s’atteler à l’effort de transparence et de pédagogie qui en résulte, c’est contraire au « laisser venir habituel » dont fait preuve la plupart du temps notre édile. Les uns comme les autres, affichent leur détermination à convaincre en proposant de financer les études permettant d’élaborer une cartographie conforme à leur désidérata. Si les premiers sont dans la même logique de financer par eux-mêmes les travaux d’entretien ou des études confortant leur engagement, les seconds veulent engager un financement de la commune à cette fin. Le CODEPPI a rappelé lors des échanges, les agissements peu convaincants de ceux qui veulent rajouter une étude à la quarantaine qui a précédé , qui ne feront que renforcer le sentiment de gabegie financière tant publique que privée. Il tient a rappeler que les administrés de la commune préfèreraient que l’utilisation des capacités de financement réponde à des nécessités plus en conformité avec la conjoncture économique et financière à laquelle tout le monde est confronté. Le CODEPPI aspire à ce que l’État siffle la fin de la partie comme il s’est engagé à le faire pour fin 2025, début 2026. Il soutient le travail effectué, sous sa houlette avec le concours de Bureaux d’Études et de Référents Scientifiques , et un constat basé sur des travaux factuels documentés scientifiquement. Les manquements et les insuffisances en matière d’information du public ont été patents et dénoncés par notre association depuis 2001 et cette réunion méritait à ce titre de se dérouler. Nous vous proposons une restitution de la presse après la réunion d'information du 1er juillet 2025 (l'accès à ICI Gironde ci dessous permet également d'ouvrir la vidéo du journal de mi journée du 2 juillet avec interview CODEPPI - Du Fau de Lamothe - " QUE SERA LE CAP FERRET DANS 100 ANS" ) Document SUD-OUEST 3 juillet 2025 Document ICI Gironde-FR3 2 juillet 2025 REUNION DU 8ème COMITE DE CONSULTATION DE LA REVISION DU PPRL (Plan de Prevention des Risques Littoraux) le LEGE CAP FERRET Comme l’avait souhaité le CODEPPI, la réunion du CoCoas du 5 juin s’est tenue. La réunion publique du 1er juillet aura également lieu, sous l'égide de l'Etat prescripteur de la Révision en cours du PPRL. (La Forestière, 18h30) Le groupement d'associations de propriétaires de la Pointe liguées par M. B. Bartherotte n'a pas ébranlé la détermination de l'Etat à poursuivre l'ordre du jour animé par le cabinet Créocéan. Il est regrettable que des propos déplacés à l'encontre d' "une bande d'étu-diants attardés" aient visé Créocéan, l’AMO (Assistance Maitrise d'Ouvrage de l’État), ou le BRGM en tant que conseil technique. Des propos que nous, CODEPPI, qualifions de climato - négationnistes. M. le maire a également exprimé son désaccord avec les hypothèses retenues par Créocéan - Etat, affirmant notamment qu'elles limiteraient la capacité à construire de la commune tout en rappelant son déni de la relocalisation et l'affirmation que les prévisions à 100 ans de recul du trait de côte au droit des dunes (exemples cités) de la dune de la Truquette à Piquey ou de celle de la plage des Pastourelles à Claouey étaient un non sens car "tout le monde sait" qu'elles sont immuables. Le CODEPPI a exprimé le fait qu'il fallait prendre en compte ce qu'affirme et documente la science : le niveau de l'eau s'élève. On ne peut pas affirmer que ça n'a jamais débordé ici ou là, et que ça ne débordera jamais. Le CODEPPI à produit en séance une donnée scientifique relative à la mesure des volumes d'eau entrant et sortant du Bassin , produit par IFREMER pour le plan de gestion 2023-2032 de la RNN du Banc d'Arguin, qui illustre l'impact croissant lié à la dilatation calorique des eaux et à l'élévation continue du niveau des océans. La politique des rapports de force a échoué contre celle des rapports de raison. La science n’est définitivement pas une opinion. Nous portons à votre connaissance le document IFREMER sur les évolutions des volumes soumis à l'effet "chasse d'eau" des marées sur le bassin, ainsi que la deuxième contribution du CODEPPI de juin 2025. Document Eude IFREMER plan gestion RNN Arguin Document 2ème contribution CODEPPI PPRL LCF juin 2025 REUNION DU 7ème COMITE DE CONSULTATION DE LA REVISION DU PPRL (Plan de Prevention des Risques Littoraux) le LEGE CAP FERRET Rappel : notre commune dispose d'un PPRL (Plan de Prévention du Risque LIttoral) depuis 2001. L'Etat a prescrit sa révision en février 2019 et lancé le processus de préparation au sein de comité de concertation dénommé CoCoas. Lors de la 6ème réunion, les deux associations contributives (par leurs travaux qu'ils soumettent au comité) ont vivement protesté sur le fait que le comité ne leur a accordé aucun temps pour présenter leurs contributions, et que l'ordre du jour et son déroulé "étaient convenus" entre Etat et Collectivité Locale (commune) dans une réunion qui avait précédé la tenue du comité, sans qu'ils en soient informés. L'essentiel du 7ème comité . L'Etat a demandé au cabinet en charge des travaux d'études de cette révision d'accélérer le processus en cours en vue d'une finalisation d'un projet fin 2025, début 2026. Mises à part les mauvaises conditions de concertation dans ces comités (les présentations ne sont pas adressées ou mises à disposition aux participants avant le réunion et les très mauvaises conditions de projection que ce soit à la salle de la Halle à Lège Bourg ou à la salle de La Forestière au Cap Ferret), ce comité accueillait de nouveaux invités et le "débat" de consultation et concertation s'en trouve réduit. Le CODEPPI faisait remarquer qu'il était temps d'en finir avec ce projet de révision qui entre dans sa sixième année de préparation En vue de la prochaine réunion du comité (la huitième), un groupe d'associations de propriétaires de la pointe ont mandaté leur conseil, pour demander au Prefet de surseoir à la réunion du 5 juin. Dès que le CODEPPI a pris connaissance de cette initiative, il a adressé au Prefet une analyse factuelle, adossée au cadre légal et règlementaire relatif aux PPRL, et en a déduit qu'il n'y avait pas lieu de reporter la date du 5 juin. Nous portons à votre connaissance ce courrier, ainsi que la réponse que le Prefet nous a adressé, confirmant notre analyse. Document Lettre du CODEPPI au Préfet sur la demande de report du 8ème comité Document Réponse du Préfet à notre courrier EAUX USÉES : « PERMIS DE POLLUER » AU SIBA ? LA JUSTICE DONNE RAISON AUX ASSOCIATIONS MOBILISEES Le 20 mai le Tribunal administratif de Bordeaux donne raison à la SEPANSO qui demandait la suspension des arrêtés préfectoraux qui permettent dans des circonstances exceptionnelles de rejeter des eaux usées dans le bassin. Ce référé suspensif ne doit as fair oublier le procédures en cours émanant de l'ADEBA, de la CEBA , sans oublier le CCRA, le Comité conchylicole régional d'Arcachon. Document Référé contre arrêté préfectoral 20 mai 2025 TA Bx STRATEGIE DE RECUL : INGENIERIE OU SOLUTIONS NATURELLES L’État préconise d’adopter une gestion différenciée du risque. Il s’agit de prendre en compte le degré d’urbanisation des zones côtières, tout en respectant un principe de non aggravation. Une gestion dite dure peut-être appliquée dans les zones naturelles des documents d’urbanisme. Cela implique d’interdire toute nouvelle construction. Dans les zones denses, une gestion plus souple est préconisée à long terme. Les zones à urbaniser sont supprimées, mais les extensions de bâtiments existants demeurent possibles sous certaines conditions. Par ailleurs, un décret paru en 2023 liste les communes qui doivent cartographier l’évolution du trait de côte sur leur territoire. Une surveillance établie à court terme (0 – 30 ans) et à long terme (jusqu’à 100 ans). Seules les communes déjà dotées d’un plan de prévention des risques littoraux (PPRL), une déclinaison du plan de prévention des risques naturels (PPRN), seront dispensées de cartographier leur littoral. Le risque de recul du trait de côte est en effet déjà couvert par le PPRL.C'est le cas de Lège Cap Ferret Les solutions naturelles présentent ainsi l’avantage de concilier la protection des populations et des équipements, et la préservation de la biodiversité. Parmi les actions possibles : restaurer les barrières dunaires, empêcher la disparition des dunes en les végétalisant. Les sédiments fixés aux racines des végétaux seront en effet mieux protégés. Lorsque le recul du trait de côte menace directement les populations, des solutions plus dures peuvent être adoptées. Elles reposent sur la construction d’ouvrages de protection, comme des digues, des brise-lames ou des épis. Elles doivent cependant constituer un ultime recours, compte tenu de leur impact sur les écosystèmes et de leur coût financier important. Malgré la multiplication des phénomènes climatiques liés à l’érosion du littoral, les territoires côtiers sont soumis à une forte pression démographique. Il est donc essentiel de sensibiliser les populations locales aux risques liés à la montée des eaux et au recul du trait de côte. Cela passe notamment par une amélioration du niveau d’information des habitants. Ainsi, le recul du trait de côte fait désormais partie des informations à mentionner obligatoirement dans l’état des risques et pollutions (ERP). Les zonages liés au recul du trait de côte doivent également être mentionnés dans les documents d’urbanisme, comme les plans locaux d’urbanisme communaux (PLU) ou intercommunaux (PLUI). Le recul du trait de côte étant largement intensifié par le réchauffement climatique, sa gestion représente un enjeu majeur du développement durable. Afin de protéger les populations et les écosystèmes côtiers, il est nécessaire d’intégrer ce risque dans les politiques d’aménagement du territoire, et d’associer les habitants à l’évolution de leur environnement. ARC'EAU NOUS ECLAIRE UN PEU PLUS SUR LES INVESTISSEMENTS REELS DU SIBA APRES L'ADOPTION DU COMPTE FINANCIER UNIQUE LE 11 février 2025 Après une première analyse produite par cet acteur incontournable de la gestion de l'eau intitulé "la Rustine du SIBA" elle complète son éclairage sur le sujet après l'adoption le 11 février 2025 par le conseil d'Administration du SIBA des résultats d’exécution de l’exercice 2024. Celui pour l’assainissement est détaillé dans un budget annexe séparé des autres opérations du SIBA. Cette séparation voulue par la loi, s’explique puisque ce budget doit être uniquement financé par les usagers du service et non par les contribuables. Il est alors possible de comparer les prévisions, le budget, et les réalisations. Ainsi avec 18,7 M€ au 31 décembre 2024, le SIBA disposait de quoi payer ses frais d’avocats ainsi que les "préjudices réclamés par les ostréiculteurs", les fameux 5 M€, si tant est qu’ils soient justifiés. On cherche encore en quoi, l’État, la Région, le Département seraient responsables des services d’eaux usées et d’eaux pluviales, compétences exclusives du SIBA. Deux ministres, de l’agriculture et de l’environnement, sont venus rappeler le principe de droit : « Pollueur, payeur » . Prenez connaissance de ce nouvel éclairage dans le document ci dessous Document Analyse des comptes SIBA du 11 février 2025 EAUX USÉES : « PERMIS DE POLLUER » AU SIBA ? ET POUR LÈGE- CAP FERRET, QU’EN EST-IL ? Les déversements d’eaux usées du bassin de Lège se font dans « Le Marais de la Lède des Agaçats ». Ce marais, de près de 29 hectares enserre le bassin de rétention. Il est en communication à l’est avec le Canal des Étangs et au Sud-Est avec la Réserve naturelle nationale des près salés d’Arès et de Lège-Cap Ferret. Prenez connaissance du COMMUNIQUE DE PRESSE DU CODEPPI EN DATE DU 29 JANVIER 2025 et de la délibération du conseil municipal du 21 mars 2019 . Document Document Communiqué de presse du 29 janvier Déliberation CM de LCF du 21 mars 2019 CRISE DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE BASSIN D'ARCACHON - DES IMAGES SUR LE RASSEMBLEMENT DU 27 JANVIER DEVANT LE SIEGE DU SIBA Ouvrez le lien pour ouvrir directement une vidéo youtube Le lundi 27 janvier 2025, l'association ADEBA menée par l'ostréiculteur Thierry Lafon, organisait une nouvelle manifestation devant le siège du SIBA à Arcachon, afin de protester contre la volonté affichée du Préfet d'autoriser le SIBA à rejeter les eaux usées dans le milieu naturel en cas de pluies intenses. Ostréiculteurs, citoyens, certains élus, et associations environnementales participaient à ce rassemblement. Cette vidéo permet de prendre connaissance des discours des différents intervenants dans leur intégralité. (images © Stéphane Scotto pour Les Sentinelles du Bassin) Mobilisation 27 janv 2025 et Q/R ADEBA Document COMPRENDRE LES CONFLITS ET LES CRISES QUI SE PRODUISENT SUR NOTRE TERRITOIRE DU BASSIN D'ARCACHON Le CODEPPI s'est donné comme mentor, Jacques ELLUL, non pas seulement pour la dimension de sa pensée philosophique mais pour son rôle de témoin - sentinelle de ce territoire du B.A. Avoir raison trop tôt ne permet que d'être cité par les générations qui suivent pour dénoncer le renoncement, les erreurs de stratégie ou l'aveuglement. Mais sur les sujets qui préoccupent ce siècle, et nous projettent qu'on le veuille ou non sur un horizon encore plus lointain, pour alerter sur l'irréversibilité de nos malheurs, voire la disparition du monde vivant tel que nous le connaissons sur la planète, nous avons besoin de retenir des regards analytiques et justes de témoins comme Jacques Ellul. Il était comme nous résident de la Presqu'île, comme nous amoureux de ce coin de terre objet de toutes les convoitises et des projets les plus fous pour donner raison aux gouvernances désireuses de créer de la valeur par la croissance économique en exploitant le gisement intarissable des richesses naturelles. De l'observation de la crise de 2023-2024 sur l'assainissement, il nous aurait rappelé que si cet "accident" s'est produit c'est qu'il est le résultat du manque de prise de conscience des seuils à respecter. E t que, si crise il y a, c'est que le problème de fond révélé, l'est en proportion d'un "accident énorme et spectaculaire" dû à l'asservissement à la cause d'une industrie touristique, seul moteur de croissance, mais oh combien destructrice de l'environnement, et de la contradiction entre un usage immodéré du plan d'eau où tous les comportements sont autorisés et les moyens de contrôle insuffisants. Sans présager du réchauffement climatique et de l'accélération de ces mises en déséquilibre des milieux, il se serait dressé contre cette situation en dénonçant qu'il faut toujours investir pour maintenir une machine, un système d'ingénierie à hauteur des ambitions affichées. CRISE DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE BASSIN D'ARCACHON - UNE MISE AU POINT D'ARC'EAU SUR LA COMMUNICATION DU SIBA RELATIVE A L'ANNONCE SUR LES 120 MILLIONS D'INVESTISEMENTS Acteur incontournable de la ressource en eau, ARC'EAU a la mérite de pouvoir analyser et chercher le vrai du faux dans la bataille de chiffres que le SIBA livre en défense aux faits qui lui sont reprochés. Sous le titre évocateur de LA RUSTINE DU SIBA, découvrez cette analyse. En définitive le surplus d’investissement consacré par le SIBA, sur ces deux lignes eaux usées et eaux pluviales, est bien faible : 23,9 M€, soit 4,78 M€ par an pendant 5 ans. Pourquoi le SIBA a autant attendu pour répondre à un problème connu depuis 2021? Pour l’hiver 2024-2025, espérons que les ostréiculteurs ne devront leur salut qu’à une faible pluviométrie, sauf à tenter de développer des solutions palliatives. Il risque d’en aller de même jusqu’à la mise en service de la nouvelle Station STEP projetée Document La Rustine du SIBA - ARC'EAU CRISE DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE BASSIN D'ARCACHON - DES IMAGES SUR LE RASSEMBLEMENT DU 27 JANVIER DEVANT LE SIEGE DU SIBA Ouvrez le lien pour ouvrir directement une vidéo youtube Le lundi 27 janvier 2025, l'association ADEBA menée par l'ostréiculteur Thierry Lafon, organisait une nouvelle manifestation devant le siège du SIBA à Arcachon, afin de protester contre la volonté affichée du Préfet d'autoriser le SIBA à rejeter les eaux usées dans le milieu naturel en cas de pluies intenses. Ostréiculteurs, citoyens, certains élus, et associations environnementales participaient à ce rassemblement. Cette vidéo permet de prendre connaissance des discours des différents intervenants dans leur intégralité. (images © Stéphane Scotto pour Les Sentinelles du Bassin) Mobilisation 27 janv 2025 et Q/R ADEBA Document TIRER LES ENSEIGNEMENTS DES MEGA FEUX DE FORET DE 2022. LE PLAN DE LUTTE ET LES MESURES DE SAUVEGARDE DE LA POPULATION La commune de LCF est particulièrement concernée par le Risque Incendie de Forêt compte tenu de l'importance de son couvert forestier. Ce risque est classé comme RISQUE MAJEUR compte tenu qu'il peut survenir à n'importe quel moment. En matière de PREVENTION, l'Etat est prescripteur du Plan de Prévention du Risque Incendie de Forêt (PPRIF) et se doit d'impliquer tous les acteurs concernés dans l'élaboration et la révision. La LUTTE contre l'incendie, l'organisation des services actifs dédiés, l'organisation des alertes, des mobilisations de moyens, de la gestion de crise, de l'accès prioritaire au feu pour les moyens engagés, des moyens d'évacuation des populations en danger, relève de l'organisation de tous les acteurs publics, Etat-Région et Département, Collectivités locales. Sur la commune de LCF, la consultation du DICRIM-Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs (lien ci dessous) est essentiel. En mai 2025, notre attention reste mobilisée sur la mise à l'épreuve des dispositifs prévus et décrits pour le regroupement et l'évacuation des populations. Nous attendons depuis 2023 des exercices de simulation en basse comme en haute saison pour en mesurer l'efficience Document Lien pour accès au DICRIM sur site LCF CRISE DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE BASSIN D'ARCACHON - LOIN DE L'APAISEMENT NECESSAIRE POUR FAIRE REVENIR LA CONFIANCE - LA SURENCHERE DES ELUS SE POURSUIT - L'ETAT LAISSE FAIRE. PRESSE LOCALE (Journal Sud-Ouest en date du 15 janvier 2025) "En application d’une décision de justice et à la demande du Syndicat intercommunal du bassin d’Arcachon, la préfecture projette de modifier des arrêtés pour permettre à la collectivité de déverser des eaux usées dans la nature, via les bassins de sécurité, dans des conditions de pluviométrie exceptionnelle" rapportait le journal Sud Ouest ce 15 janvier. Il poursuivait "Cette décision préfectorale est très attendue depuis que le dossier a été rendu public en septembre 2024, provoquant une polémique d’ampleur .Son état d’avancement a été communiqué ce mercredi 15 janvier : l’État va proposer des modifications des arrêtés encadrant les systèmes d’assainissement du Syndicat intercommunal du bassin d’Arcachon (Siba) afin de permettre à la collectivité, gérée par les maires du Bassin, de déverser « exceptionnellement » des eaux usées dans la nature." °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Le monde associatif, solidaire et vigilant a réagit aussitôt par un communiqué de presse de la CEBA, signé de son Président Jacques STORELLI COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CEBA (en date du 16 janvier 2025) Le communiqué de presse de l’Etat annonce l’activation d’un processus consistant à délivrer une sorte de blanc-seing préventif au SIBA en matière de pollution. La Préfecture reconnait ainsi implicitement que le SIBA est, et reste, en dépit du budget de 120 M€ annoncé en octobre dernier, dans l'incapacité de garantir au Bassin d'Arcachon, au milieu aquatique, à la forêt, à la ressource halieutique, aux métiers de la Mer, à la biodiversité, aux herbiers, aux administrés, une nécessaire sécurité environnementale et sanitaire. On aurait pu espérer que, depuis 2021, date des premiers dysfonctionnements lourds des réseaux d'EP(Eau Potable) et d'EU (Eaux Usées), l'Autorité de l'Etat puisse imposer au SIBA de prendre des mesures efficaces de nature à prévenir tous rejets de matière polluées dans le milieu naturel. La CEBA constate qu'il n'en est rien et mènera toutes les actions juridiques et judiciaires que la situation impose, et imposera, lorsque les arrêtés à venir seront publiés. °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° REACTIONS DE PROFESSIONNELS DE L'OSTREICULTURE (éléments rapportés par le journal Sud Ouest) Propos de M. Thierry Lafon, (ostréiculteur et Président de l'ADEBA Association de Défense des eaux du Bassin)Il craint que la consultation prévue du Parc Marin ne change rien (simple avis technique), lui qui a vu son chiffre d'affaires chuter de 40% l'an dernier, après la pollution de l'hiver 2024... Une chute de la demande et une déstabilisation du du marché caractérisée par la méfiance et une perte de confiance des consommateurs. "Pas question de s ubir ce traumatisme une nouvelle fois . Il faut que le SIBA s'occupe des 6 % du réseau des eaux qui pose problème. Il faut le rendre complètement étanche aux entrées d'eaux pluviales. Pour l'instant, c'est une vraie passoire ! Je ne pense pas qu'une nouvelle station soit la solution pour gérer le trop-plein d'eaux pluviales". Dénonce-t-il. CRISE DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE BASSIN D'ARCACHON - PODCAST DE L'EMISSION DE LA RADIO GIRONDINE "LA CLE DES ONDES" (90.10) ENREGISTREE LE 20 NOVEMBRE AU TEICH Cet acteur de la presse locale, radio libre, engagée notamment dans la Préservation de la Nature et de sa Biodiversité, a couvert le débat public existant entre acteurs associatifs et acteurs techniques en charge de la gestion du réseau d'Assainissement du Bassin d'Arcachon. Pour accéder à l'écoute de ce moment de radio qui dure un peu plus de 50 minutes, nous vous invitons à suivre le lien en bas de cette page ou de copier cette adresse sur votre navigateur pour lire le podcast https://lacledesondes.fr/emission/climat-de-luttes Vous ouvrez ainsi votre lecteur Media habituel L'émission dure 55 min environ Sur le compteur à droite en bas du défilement nous vous donnons les repères des intervenants 55min20s à 45min55sec : Exposé de Daniel LAFON, association ADEBA (10 minutes d'écoute) 44min10s à la fin : Débat croisé entre Thierry LAFON, Pdt de l'ADEBA et Patrick DU FAU DE LAMOTHE Militant écologiste très investi sur le territoire, membre du CODEPPI (45 minutes d'écoute) Cette émission s'appuie sur le débat Public organisé le 7 novembre 2024 à Andernos les Bains en présence de plusieurs associations membres de la CEBA (Coordination environnementale du BA) dont Betey Environnement, BAE (BA ecologie) SEPANSO gironde, Eco Citoyens du BA Cliquez sur l'icone "lecture" pour écouter REUNION DU 6ème COMITE DE CONSULTATION DE LA REVISION DU PPRL (Plan de Prevention des Risques littoraux) le LEGE CAP FERRET Les questions liées à l’érosion aujourd’hui renforcée par le changement climatique, sont suivies depuis longtemps par le CODEPPI. Au stade d’avancement de la révision du PPRL de 2001, le CODEPPI, qui est présent au comité de concertation et d’association, sur le banc de la CEBA, depuis cette date, a souhaité exprimer un certain nombre de points apparus au cours de la procédure d’élaboration. Notre contribution, adressée à tous les membres du comité de consultation a développée les points suivants : 1. Une zone géographique de prévention enfin cohérente mais insuffisante 2. Mais un territoire laissé à l’abandon en matière d’adaptation et de protection 3. Les effets incompris de l’élévation du niveau des océans 4. Une hypothèse d’élévation du niveau de l’océan non conforme à une analyse de risques ? 5. Des interrogations qui n’ont pas lieu d’être concernant l’évolution future du Mimbeau 6. De l’urgence des « porter à connaissance » de l’État à la commune de Lège – Cap Ferret 7. De la nécessité de l’information des résidents et propriétaires par l’État face à une commune défaillante Vous pouvez prendre connaissance, ci après, de ce document qui concerne tous les habitants et résidents de la commune Document Contribution du CODEPPI à la révision du PPRL VIVE PROTESTATION DES ASSOCIATIONS AYANT PROPOSE DES CONTRIBUTIONS LORS DE LA REUNION DU 6ème COMITE DE CONSULTATION DE LA REVISION DU PPRL (Plan de Prevention des Risques littoraux) le LEGE CAP FERRET À l'initiative du CODEPPI, plusieurs associations membres du Comité de Consultation ont décidé d'exprimer une vive protestation concernant le déroulement de cette réunion et sollicitent du sous-préfet invitant une réponse explicite à leur objection. Veuillez prendre connaissance ci-dessous du courrier adressé le 7 octobre à Monsieur le Sous-Préfet ainsi qu'à tous les membres de cette commission, y compris un large éventail représentatif de la municipalité . NB : depuis le 9 octobre PALCF a rejoint les signataires Document Lettre conjointe à M. le s/préfet BILAN DE L'HIVER 2023-2024 EN TERMES D'IMPACTS METEO-MARINS SUR LE LITTORAL (Nouvelle Aquitaine, focus Gironde, focus Lege Cap Ferret) L’Observatoire de la côte de Nouvelle Aquitaine (OCNA) vient de publier deux rapports relatifs aux conséquences de l’hiver 2023-2024 sur le littoral régional, réalisés par les deux porteurs techniques de l’OCNA : l’ONF (Office national des forêts) et le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières). Prenez en connaissance ci après IMPORTER CARTE LOCALE D'EXPOSITION AU RECUL DU TRAIT DE CÖTE : UNE OBLIGATION QUI INCOMBE A NOTRE COMMUNE Notre commune figure, pour la totalité de son territoire, sur la liste des communes soumises au recul du trait de côte visées au décret du 29 avril 2022, n°2022-750. N’étant couverte que très partiellement par un Plan de Prévention des Risques Littoraux, notre commune est dans l’obligation d’élaborer la « Carte Locale d’Exposition au Recul du Trait de Côte » (CLERTC), définie à l’article L. 122-22-1 du code de l’urbanisme. Cette obligation incombe à la seule commune. La démarche devait commencer dans les 12 mois qui suivaient la publication du décret soit au plus tard le 29 avril 2023. De plus, le document d’urbanisme, PLU pour notre commune, doit intégrer cette carte et le zonage en découlant sous 3 ans, soit au plus tard le 29 avril 2025. Les projections de recul du trait de côte sont à faire aux horizons de 30 et 100 ans. Le CODEPPI vien d'écrire à notre maire pour le lui rappeler. Il en a informé le Prefet et les services de la DDTM chargées de faire appliquer les dispositions prévues par le cadre légal et règlementaire. Découvrez ci après le courrier du CODEPPI Document Courrier du 10 aout 2024 PEUT-ON PARLER SEREINEMENT DES RISQUES MAJEURS D’ÉROSION ET DE SUBMERSION CÔTIÈRE EN CETTE FIN JUIN 2024 ? Le CODEPPI suit de près les informations factuelles émanant des bureaux d’études spécialisés sur les impacts du réchauffement climatique, qui accentue les phénomènes d’érosion et de submersion des littoraux. L’origine de notre communication présentée ici : Le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA) est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle conjointe du ministre de la Transition écologique et solidaire, et du ministre de la Cohésion des territoires. Il est contributif à la (a) Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte, gère (b) l’Indicateur national de l’érosion côtière, ainsi que la (c) Cartographie nationale des ouvrages et aménagements littoraux. Pour la synthèse que nous relatons ici il s’appuie sur le base publique(d) Datafoncier, la plateforme des données pour les territoires et le €Rapport de la mission d’inspection interministérielle sur le financement de la recomposition spatiale des territoires littoraux concernés par le recul du trait de côte Les faits : Le CEREMA établit, dans son dernier rapport, que l’érosion de nos côtes va s’accentuer dans les décennies à venir. Selon lui, les modélisations dès 2050, montrent que 5200 habitations et 1400 bureaux, restaurants, commerces, campings et hôtels, seront directement menacées par le recul du trait de côte sur les littoraux français. Avec un cout total estimé des dégâts potentiels faramineux : 1,2 milliards d’euros. Sa projection pour 2100 indique que le nombre de logements (maison et appartement) potentiellement atteints par le recul du littoral s e rait compris entre environ 5 000 et 50 000 en métropole et dans les DROM, pour une valeur immobilière estimée entre 0,8 et 8 milliards d’euros. Un expert de l’Observatoire de la Côte Aquitaine rappelle : « En Aquitaine il y a plusieurs milliers d’années, le trait de côte se trouvait à une centaine de kilomètres au large ». Le processus est donc constant, mais il s’accentue et accélère depuis quelques décennies. D’ailleurs selon le site du gouvernement, près de 20% du littoral français métropolitain soit environ 900 kilomètres de côte se trouve en érosion chronique depuis les années 60 L’accélération constatée et projetée est essentiellement liée à la hausse du niveau de la mer due au changement climatique. « D’autant que sur les rivages sableux, la construction d’infrastructures portuaires, de digues ou d’enrochement perturbe le transit sédimentaire, ce qui peut parfois accentuer l‘érosion à certains endroits. A cela les eaux de pluie et de ruissellement affectent les hauts de dunes côtières et sur les falaises peuvent provoquer glissements de terrains et effondrement. La houle, les courants et la marée déblaient ensuite les matériaux, ce qui empêche la stabilisation de la pente du littoral et permet à l’érosion de se poursuivre ». Les travaux en cours menés par l’État pour l’actualisation du PPRL de Lege Cap Ferret (Plan de Prévention des Risques Littoraux), auquel participe le CODEPPI, a pour but d’aider à définir une trajectoire pour agir avec discernement. Suivez-nous sur ce site. RISQUES MAJEURS ET ASSURANCES : IL FAUT SE PRÉPARER À UNE AUGMENTATION SIGNIFICATIVE DES TARIFS" (extraits de l’interview du patron d’AXA) - Isabelle Raymond Radio France le 27/06/2024 AXA est l'un des leaders mondiaux du secteur des assurances, avec 7 millions de clients en France. En 2023, le coût des sinistres climatiques a atteint 6,5 milliards d'euros en France, soit une hausse de 40% par rapport aux 10 dernières années.. Thomas Buberl : …Les risques climatiques, tout cela coûte très cher et certainement on ne s’est jamais attendu à ce niveau de risque en 2023. Les grands événements prévisibles dans le temps comme les ouragans, coûtent quelquefois moins cher, parce que la prévention mise en place par les États, les entreprises, les particuliers aide et marche. Néanmoins, on a beaucoup de nouveaux événements - les inondations, la sécheresse, les feux - qui apparaissent là où on ne pense pas, c'est pourquoi la prévention est difficile, et c'est ce qui fait que la facture est lourde… On a vu que l'État avait prévu d'augmenter la prime Cat Nat en 2025. Quelles vont être les répercussions sur les tarifs des assurances ? …Si on veut que l'assurance marche et reste un outil de confiance, il faut que la facture "marche". Cela veut dire que si les sinistres augmentent, il faut aussi que les primes suivent. On a une sinistralité qui est beaucoup plus élevée et c'est pourquoi le sujet de prévention est tellement important…Si le coût a été de 40% de plus en 2023 par rapport aux dix dernières années, l'augmentation ne va jamais être de cet ordre-là, mais il faut se préparer à une augmentation significative… …Notre politique c'est d'aider. C'est notre intérêt, parce que nous sommes tous là pour protéger l'assurabilité du risque. Personne n'a intérêt à ce qu'un risque ne soit plus assurable. Sinon on va tomber dans une fracture sociale dont personne ne veut. Et c'est pourquoi tout le monde, les États, les assureurs, les particuliers, les entreprises ont un intérêt à se protéger et à faire plus de prévention… …Il faut réfléchir par exemple au changement des cycles de plantation pour éviter la sécheresse. Il faut utiliser aussi les opportunités des nouvelles technologies, par les images satellites, par les capteurs, pour comprendre quel type de risque de feu on peut avoir. Il y a plein de méthodes et les entreprises veulent de plus en plus utiliser ces moyens. On a créé une entreprise au sein d'Axa, qui s'appelle Axa Climate, avec aujourd'hui plus de 200 scientifiques spécialisés dans le climat, qui consultent et aident les entreprises pour s'adapter… LE CODEPPI RAPPELLE AU MAIRE DE LCF LES ENJEUX ET LES CONTRAINTES DE L'EROSION-SUBMERSION SUR LE LITTORAL DE LA COMMUNE- DIALOGUE PAR PRESSE INTERPOSEE Le 20 avril 2024, le journal SUD OUEST rappelait en une de son édition du samedi pour le Bassin d'Arcachon, les contradictions, voire les manquement des obligations d'information du public en matière de risque "prévisible" d'érosion-submersion sur le littoral de la Presqu'ile. A suivre Découvrez ci après l'article en question Document Article Sud OUest du 4 avril 2024 LE CODEPPI VOUS REND COMPTE DE L'ESSENTIEL DES TRAVAUX DU CABINET CREOCEAN ET DU BRGM PRESENTES LORS DU COMITE DE SUIVI LOCAL DU 4 JUILLET 2023 - POINT D'ETAPE 1 ET 2. Ces informations résultent des travaux en cours de la révision du Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL) pour Lege Cap Ferret. Elles répondent, enfin, à la projection des indicateurs de référence en matière de réchauffement climatique. Ces travaux seront finalisés, validés, et publiés dans quelques mois. Ils révèleront l’impact de l’érosion du littoral sous les effets combinés du réchauffement climatique (augmentation des phénomènes tempétueux) et de l’élévation du niveau des océans. Il reviendra à nos institutions d’adapter les mesures de prévention qu’elles jugeront possibles et nécessaires en réponse aux impacts sur notre environnement. Nous sommes tous, les acteurs de ces projections et de leurs conséquences . Découvrez ci après une synthèse du document présenté Document Essentiel du document d'étape CREOCEAN-BRGM 4 juillet 2023 DYSFONCTIONNEMENT DE L'ASSAINISSEMENT SUR LE B.A. ET CRISE SANITAIRE Les Associations mobilisées font dire le droit par une "référé environnement" à l'encontre du SIBA. Après la crise sanitaire provoquée par la consommation d’huitres au moment des fêtes de fin d’année, après la forte mobilisation des associations de défense de l’environnement et les plaintes au pénal déposées (SEPANSO), le Tribunal Judicaire de Bordeaux vient de rendre une ordonnance en application de l’article L 216-13 du code de l’Environnement.Le contrôle de la qualité des eaux du BA sont désormais confiés à aux inspecteurs de l’Office Français de la Biodiversité (OFB)La justice ordonne au SIBA de réaliser les travaux urgents, retire au SIBA les mesures de la vulnérabilité des eaux dont celles du milieu ostréicole et confie la surveillance de la qualité de celles-ci aux inspecteurs de l’environnement de l’OFB. Découvrez ci après l'extrait du jugement du tribunal judiciaire de Bordeaux Document Référé environnement sur crise assainissement LE DYSFONTIONNEMENT DU RESEAU D’ASSAINISSEMENT, LA CRISE DE LA COMMERCIALISATION DES HUITRES DU BASSIN D’ARCACHON, LES REACTIONS DU MONDE ASSOCIATIF, LES ACTIONS EN JUSTICE QUI SE MULTIPLIENT (janvier 2024) La mobilisation se poursuit dans un contexte de déni de responsabilité du SIBA et des élus membres du syndicat, d’une carence de réactions de l‘Etat dont la mise en œuvre du principe de précaution est jugée tardive…Les plaintes déposées par l’ADEBA (cf analyse plus bas qui met en cause des défaillances dans la mission du SIBA) d’une part et la CEBA d’autre part (qui met en cause des défaillances dans le déclanchement d’alerte sanitaire) ont amenées le parquet à ouvrir une enquête. S'interroger sur les défaillances patentes du SIBA c'est oublier que ce sont les élus qui décident. Attendre du SIBA un rôle de lanceur d'alerte efficace est impensable aujourd'hui compte tenu de ce que nous venons de vivre. Combien d'élus se sont risqués, depuis l’arrêté d'interdiction à pointer du doigt la qualité, l'efficience des dispositifs gérés par le SIBA ? Début janvier nous avons noté les promesses données aux ostréiculteurs pour une indemnisation du manque à gagner : d’abord par le Préfet, confirma par le gouvernement. La pollution liée aux dégorgements d’eaux usées dans la nature a peu impacté Lege Cap Ferret, alors que de nombreuses communes du Bassin étaient concernées au Nord Est. Les déclarations du président du SIBA évoquant une situation pluviométrique exceptionnelle ne suffisent pas à cautionner les impacts catastrophiques constatés. Les situations similaires constatées dans plusieurs territoires en France amènent à pointer du doigt un manque d’anticipation, un retard patent dans les investissements en liaison avec la croissance des populations, et une tentation à museler la parole des scientifiques et ingénieurs qui gèrent l’assainissement. ( sources diverses presse nationale et régionale) A suivre. PPRIF : L'ETAT CONTRAINT DE PROCEDER A LA FINALISATION DU PLAN DE PREVOYANDE DU RISQUE INCENDIE DE FORET DE LEGE CAP FERRET Prescrit en 2004 mais jamais abouti, le Tribunal administratif de Bordeaux a mis fin à cette situation en obligeant l'Etat à finaliser le PPRIF de Lege Cap Ferret. L'Etat a renoncé à des voies de recours. Cette procédure conduite par la CEBA, soutenue par le CODEPPI, ravivée par les situations catastrophiques des mega-feux de l'été 2022 a mis fin à une situation dans laquelle la municipalisé a pu laisser le marché immobilier se développer sans les contraintes de cette indispensable Prévoyance. Le paradigme d'un PPRIF qui mettrait fin aux" villages sous les arbres" est tombé. Les affirmations politiciennes de nos élus déclarant qu'ils n'avaient pas attendu le PPRIF pour concevoir des mesures de prévoyance au travers d'un "PASE" dont les premières initiatives avaient donné lieu à des réactions de la plupart des instances opérationnelles de lutte contre le feu. Depuis ce jugement, le processus a été remis sur les rails et le CODEPPI et la CEBA ont pris leur place dans le Comité de Pilotage de ce PPRIF, Sur les 7 communes du SYBARVAL, seules trois PPRIF validés étaient aboutis en 2023 La CEBA soutenue par ses membres se réserve la possibilité de redemander au cas par cas au Tribunal Administratif de rappeler à l'Etat son engagement à mener la procédure qu'il aura prescrit sans aller au bout. Vous pouvez consulter ci après le jugement du Tribunal Administratif de Bordeaux Document Jugement du Tribunal Administratif du 13 avril 2023 PPRL de LCF : LE COMITE DE PILOTAGE DE LA REVISION DE CE PPRL PRESCRIT EN 2018, DONNE L'OCCASION AU CODEPPI ET A LA CEBA DE SOULIGNER PLUSIEURS CONTRADICTIONS OU INCOHERENCES. Le 12 février dernier, cela faisait cinq ans que le préfet Lallement, signait l’arrêté prescrivant la révision du Plan de Prévention des Risques du Littoral de la commune de Lège – Cap Ferret (PPRL). Ce PPRL n’était pourtant pas très ancien (31 décembre 2001). On pouvait lui reprocher de ne concerner que le seul village du Cap Ferret, et encore à l’exception de la zone Bélisaire à Lavergne, sur sa façade interne, non soumise au PPRL sous la pression des autorités municipales de l’époque afin d’en permettre l’urbanisation, largement réalisée depuis. Notre association de protection de la Nature et de l’Environnement participe aux travaux du Comité de Concertation et d’Association (CoCoAs) mis en place par l’État pour cette révision. Une telle concertation permet à toutes les parties prenantes de s’exprimer. Cela contraste avec l’absence totale de concertation pour l’élaboration de la Stratégie Locale de Gestion Intégrée du Trait de Côte, dîtes de 2ème génération, par les collectivités locales. Nous nous en réjouissons. Ainsi, lors du CoCoAs du 7 juillet 2023, à l’occasion de la prise en compte de l’élévation du niveau des océans, l’État et son assistant à maîtrise d’ouvrage, la société CRÉOCÉAN, ont proposé de retenir le scénario SSP5-8.5 tel qu’issu du 6ème cycle d’évaluation du GIEC. Ce scénario apparaît comme probable. Il traduit l’échec des politiques d’atténuation et la continuité des tendances de consommation d’énergie primaire et de mix énergétique. Ce scénario est reconnu comme pertinent à long terme pour les écosystèmes fortement sensibles aux aléas climatiques comme les zones côtières. Ce n’est pourtant pas le scénario du pire. Depuis, le 6ème rapport du GIEC, la communauté scientifique a mis en évidence la fonte du dessous des plateformes flottantes de l’Antarctique occidental en marge de l’inlandsis, certes envisagée par le GIEC, mais alors considérée comme peu documentée. C’est ce scénario SSP5-8.5 qui a été adopté, y compris par le maire de Lège – Cap Ferret et son adjoint à l’urbanisme, ce 7 juillet 2023 Nous sommes au regret de souligner que notre maire, par ailleurs vice présidents du SYBARVAL en charge du SCOT a validé en conseil communautaire le scénario SSP1-2.6 correspond à des trajectoires socio-économiques qui supposaient un pic des émissions autour de 2020, puis une diminution significative des émissions après 2020. La diminution des émissions n’est pas arrivée. Ce scénario est conservé à titre de comparaison. Il est devenu irréaliste. Vous pouvez consulter ci après le courrier adressé à Monsieur le prefet de Gironde par le CODEPPI Document Courrier du 12 mars 2024 à Monsieur le Prefet Faites l’expérience CODEPPI Recevoir notre Lettre d'Information Merci de nous adresser un court mail sur contact.codeppi@gmail.com Votre Prénom Votre adresse email Votre Département de résidence (code postal) Précisez si vous êtes: Habitant de LCF , Résident à LCF , Familier de LCF Nous rejoindre Si vous souhaitez vous aussi participer en devenant adhérent et membre actif de l’association , n’hésitez pas à nous contacter (cf contact) Vous pouvez aussi télécharger le bulletin d’adhésion ci-dessous et nous le renvoyer, accompagné de la cotisation annuelle (15 euros) Télécharger le bulletin d'adhésion -->

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    Sujet et dossiers en cours nourris par notes de travail, documents de travail et mémoires de présentation de nos attentes et de nos requêtes Actu Presqu'île Risques majeurs Bassin-Océan Forets et Dunes Urbanisme-Mobilités Energies-Ressources Commune-Villages Actions persistantes Autres Regards Climat l' Essentiel Le Bloc Notes Jacques ELLUL Les Billets d'Humeur Bonnes feuilles Facebook Nos Mobilisations Nos Publications ESPACE ADHERENT Le Bulletin de Vigilance La Lettre d'Information Les Dossiers participatifs Abonnement alerte info Le CODEPPI Qui sommes-nous? Notre histoire Nos activités Nos Priorités Nos Engagements Participatifs Elements statutaires Politique de confidentialité Résultats de recherche Nos activités L'activité de CODEPPI est définie en six secteurs validés par notre Conseil d'Administration. Ils définissent le cadre de ns actions pour ce qui concerne les différents milieux présents sur la Commune : La presqu’ile de Lège-Cap Ferret pour ce qui concerne le cadre de vie, notamment le suivi des plans d'urbanisation ou de protection à court terme et à long terme gérés par la Commune, le Département ou la Région, Le bassin d'Arcachon pour ce qui concerne les activités traditionnelles, la pêche, le nautisme, la conservation et la protection des sites, les problèmes liés à l’érosion ou l'ensablement, la pollution, etc. La forêt domaniale pour ce qui concerne sa gestion et les équipements réservés au public. La façade Atlantique pour ce qui concerne le cordon dunaire, les plages et leur accès. Faites l’expérience CODEPPI Recevoir notre Lettre d'Information Merci de nous adresser un court mail sur contact.codeppi@gmail.com Votre Prénom Votre adresse email Votre Département de résidence (code postal) Précisez si vous êtes: Habitant de LCF , Résident à LCF , Familier de LCF Nous rejoindre Si vous souhaitez vous aussi participer en devenant adhérent et membre actif de l’association , n’hésitez pas à nous contacter (cf contact) Vous pouvez aussi télécharger le bulletin d’adhésion ci-dessous et nous le renvoyer, accompagné de la cotisation annuelle (15 euros) Télécharger le bulletin d'adhésion -->

  • Qui sommes-nous? | My Site

    codeppi apolitique indépendance financière cultuelle et culturelle Actu Presqu'île Risques majeurs Bassin-Océan Forets et Dunes Urbanisme-Mobilités Energies-Ressources Commune-Villages Actions persistantes Autres Regards Climat l' Essentiel Le Bloc Notes Jacques ELLUL Les Billets d'Humeur Bonnes feuilles Facebook Nos Mobilisations Nos Publications ESPACE ADHERENT Le Bulletin de Vigilance La Lettre d'Information Les Dossiers participatifs Abonnement alerte info Le CODEPPI Qui sommes-nous? Notre histoire Nos activités Nos Priorités Nos Engagements Participatifs Elements statutaires Politique de confidentialité Résultats de recherche Qui sommes nous? "Nous sommes des habitants, des résidents de Lège-Cap Ferret attachés à la Protection de cet environnement exceptionnel. Nous donnons de notre temps à la hauteur de nos capacités et travaillons, selon nos compétences et envies et aux côtés de la municipalité, à la défense du patrimoine naturel de la presqu'île" Le CODEPPI est une APNE (Association de Protection de la Nature et de l'Environnement) de la Presqu'île de Lège-Cap Ferret. Créée en 1981, agréée en 1985, devenue Association Locale avec le nouveau Code de l'Urbanisme en 2011. Nous sommes membre et administrateur, représentés au bureau de la CEBA, Coordination Environnement du Bassin d'Arcachon qui coordonne plus de 20 associations sur le Territoire Notre action vise à protéger et sauvegarder l'environnement de la Presqu'île, par le maintien d'un juste équilibre entre ses parties naturelles et l'urbanisation adaptée au développement de la population des habitants et résidents, de l’activité économique des secteurs traditionnels, et des secteurs novateurs. Le CODEPPI est une force de proposition pour tout ce qui concerne la transition écologique nécessaire à notre territoire. Notre devise : "Un autre regard sur la Presqu'île" Notre but n'est pas de nuire au développement de la presqu’île mais de veiller à ce qu'elle reste un endroit où il fait bon vivre. Pour cela nous devons : PROTÉGER ET SAUVEGARDER l'environnement de la Presqu'île, élément primordial du cadre de vie que ses habitants, permanents ou temporaires, sont venus y chercher, par le maintien d'un juste équilibre entre ses parties naturelles - DUNES, FORETS, SITES (inscrits ou non) - qui doivent être conservées et respectées, et les parties qui peuvent être habitées, donc urbanisées, sous réserve que cette urbanisation soit modérée, tant dans la part des surfaces constructibles que dans la qualité architecturale des constructions elles-mêmes. DÉFENDRE les activités traditionnelles locales, par la recherche et la mise en oeuvre de tous les moyens propres à assurer leur continuité, voire leur développement harmonieux, ainsi que l'ensemble de la Presqu'île, dont, notamment, les villages ostréicoles, par la lutte contre les agressions, qu'elles soient d'origine naturelle (érosion ou, au contraire, ensablement), ou apportées par l'homme. CONTRÔLER l'aménagement, particulièrement sous son aspect économique, par une correcte évaluation des possibilités d'accueil offertes, ou à offrir, au tourisme, afin d'éviter un envahissement "piétineur" de plus en plus massif, dont l'augmentation est un facteur de dégradation croissant bien plus rapidement que l'enrichissement qu'il est censé devoir apporter au pays. Faites l’expérience CODEPPI Recevoir notre Lettre d'Information Merci de nous adresser un court mail sur contact.codeppi@gmail.com Votre Prénom Votre adresse email Votre Département de résidence (code postal) Précisez si vous êtes: Habitant de LCF , Résident à LCF , Familier de LCF Nous rejoindre Si vous souhaitez vous aussi participer en devenant adhérent et membre actif de l’association , n’hésitez pas à nous contacter (cf contact) Vous pouvez aussi télécharger le bulletin d’adhésion ci-dessous et nous le renvoyer, accompagné de la cotisation annuelle (15 euros) Télécharger le bulletin d'adhésion -->

  • Nos Engagements Participatifs | My Site

    Actu Presqu'île Risques majeurs Bassin-Océan Forets et Dunes Urbanisme-Mobilités Energies-Ressources Commune-Villages Actions persistantes Autres Regards Climat l' Essentiel Le Bloc Notes Jacques ELLUL Les Billets d'Humeur Bonnes feuilles Facebook Nos Mobilisations Nos Publications ESPACE ADHERENT Le Bulletin de Vigilance La Lettre d'Information Les Dossiers participatifs Abonnement alerte info Le CODEPPI Qui sommes-nous? Notre histoire Nos activités Nos Priorités Nos Engagements Participatifs Elements statutaires Politique de confidentialité Résultats de recherche engagements participatifs Membre de la CEBA Le CODEPPI est membre actif de la Coordination Environnement Bassin d’Arcachon, il en est administrateur et membre du bureau. Le CODEPPI et la CEBA sont solidaires de plusieurs dossiers dans lesquels, compte tenu de son agrément (agrément pour la protection de l’environnement à l’échelon départemental -art L141-1 du Code de l’Environnement), la recevabilité des actions devant le juge administratif ou le juge judiciaire permet au CODEPPI de se faire entendre et défendre le droit sur certains dossiers. Membre de la Commission Consultative des Associations de Lege Cap Ferret Membre de la Commission Consultative du Plan de Prévention du Littoral de Lege Cap Ferret de la DDTM / Risques Membre de la Commission Consultative du Plan de Prévention du Risque Incendie de Forêt de Lege Cap Ferret de la DDTM / Risques Membre du Comité de Suivi de la Foret d'Exception des Landes de Gascogne de l'ONF Membre de la Commission de Retour d'Expérience (RETEX) sur l'organisation des usages Nautiques sur la cote Noroit de Lege Cap Ferret de la DDTM/AFFMAR Membre de la Commission Consultative sur la Fréquentation Nautique du Bassin d'Arcachon du Parc Naturel Marin du Bassin d'Arcachon Faites l’expérience CODEPPI Recevoir notre Lettre d'Information Merci de nous adresser un court mail sur contact.codeppi@gmail.com Votre Prénom Votre adresse email Votre Département de résidence (code postal) Précisez si vous êtes: Habitant de LCF , Résident à LCF , Familier de LCF Nous rejoindre Si vous souhaitez vous aussi participer en devenant adhérent et membre actif de l’association , n’hésitez pas à nous contacter (cf contact) Vous pouvez aussi télécharger le bulletin d’adhésion ci-dessous et nous le renvoyer, accompagné de la cotisation annuelle (15 euros) Télécharger le bulletin d'adhésion -->

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