QUELS MOYENS DE LUTTE CONTRE LES RISQUES ENCOURUS AVEC LE SCOLYTE TYPOGRAPHE ET LE NEMATODE ?
En 2018, les peuplements d'épicéas ont été ravagés par le scolyte typographe, principalement dans le Grand Est et en Bourgogne-Franche-Comté. Mais très vite nos forêts territoriales de proximité, Landes et Bassin d’Arcachon, constituées en grande partie de pins ont été touchées par ce fléau.
Pour lutter contre ce fléau, la recherche d’une détection précoce est devenue la règle. Une fois repéré, l’arbre infesté doit être coupé, puis débardé le plus vite possible, avant la fin du cycle larvaire pour éviter de contaminer les autres arbres. Le bois est ensuite amené en scierie, plongé sous l’eau ou encore écorcé de manière que les larves ne puissent pas terminer leur cycle.
D’autres stratégies ont vu le jour, comme les pièges à phéromones de mâles installés pour attirer les scolytes femelles, mais ces pratiques n’ont, a priori, pas convaincu.
En novembre 2025, un foyer de nématode du pin a été détecté dans les Landes.
Le nématode du pin, Bursaphelenchus xylophilus, est un ver microscopique qui se développe dans les conifères, en particulier ceux du genre Pinus, ce qui peut conduire au dépérissement des arbres touchés. Les nématodes se propagent d’arbre en arbre par le biais d’insectes vecteurs comme le coléoptère Monochamus galloprovincialis qui est présent dans toutes les régions de la France hexagonale. L’insecte devient porteur du nématode lorsque la larve se développe dans un arbre contaminé. Il transporte ensuite les nématodes d’un arbre à l’autre lors de son alimentation ou de la ponte.
Les Landes constituent une zone à risque. En cas de détection du nématode du pin, la législation de l’Union européenne prévoit que des mesures de gestion obligatoires soient appliquées. Une coupe rase peut être mise en place autour des arbres infestés et peut atteindre un rayon jusqu’à 500 m. D’autres mesures sont aussi organisées dans un rayon de 20 km autour du foyer. Elles comprennent en autres, l’interdiction d’exploitation forestière et le transport de bois, couplé à une surveillance active des arbres présents.
Dans le cas de détection d’un foyer de nématodes, il est recommandé d’éliminer en priorité les essences sur lesquelles le nématode est capable de se multiplier à savoir pour nos territoires de proximité le pin maritime le pin sylvestre mais aussi de produire des « plaquettes » d’essences sensibles dont toutes les dimensions sont inférieures à 3 cm afin d'éviter qu'elles n'hébergent des larves de l'insecte vecteur.
Notre forêt est en danger, non pas seulement pour le risque majeur d’incendie mais tout autant pour le risque majeur de dépérissement voire de disparition progressive des espèces endémiques de nos forêts de proximité. Deux départements de Nouvelle Aquitaine, les Pyrénnées Atlantiques et la Landes sont touchées par ce fléau.
Un plan d’urgence pour définir une transition vers une sauvegarde ou une substitution d’espèces vigoureuses devrait mobiliser les acteurs institutionnels de nos territoires et nous aimerions les entendre sur ces sujets, car il est à craindre que notre territoire sera lui aussi affecté.
LEGE CAP FERRET ET LA PLACE DE L'ARBRE : DES RECITS PAVES DE BONNES INTENTIONS
Nous avons relevé dans le cadre du processus de révision du PLU actuel (Plan Local d'urbanisation) et dans le PADD ( Projet d'Aménagement et de Développement Durable) que l'on passerait des "villages sous les arbres" à la "ville sous les arbres", tout en constatant que l'urbanisation gagne du terrain et réduit les surfaces boisées, que la prise de conscience du risque majeur d'incendie de forêt conduit à respecter une règlementation préventive comme les OLD (Obligations Légales de Débroussaillement ) ...
Mais cette "promotion" du mot "ville" préféré au mot "village", en dit long sur d'autres aspects de la communication mise en place pour planifier et programmer les évolutions de l'urbanisation, celle des paysages et des milieux naturels
L'ordre des choses a t il changé dans les intentions de nos élus ?
On a cultivé pendant plus d'un siècle l'image d'un territoire qui se voulait pittoresque, respectueux de traditions protectrices des milieux et de la nature, marqué par la sobriété des premiers habitants de cette bande de sable qualifiée très tôt, par les géographes, de "Presque une île".
Une fois de plus nous allons non pas critiquer le travail qui nous est proposé mais remettre les choses à leur place
Notre territoire se réduit plus vite qu'on ne le pense, sa population autochtone ne cesse de diminuer, et les avantages de la vie apaisante sur les rivages maritimes vont subir les effets du phénomène planétaire et inévitable du réchauffement climatique.
Dans ce cadre, on peut parler de "foret urbaine", de "l'arbre en ville contre le réchauffement climatique et des vertus qui lui sont reconnues : abaissement des fortes chaleurs, réduction de la pollution atmosphérique, amélioration du cadre de vie des citoyens… Bref tous les avantages des espaces verts et leur contribution au bien-être collectif.
Le PADD devrait décliner plus clairement cette inflexion pour le conservation et la promotion des "ilots de fraicheur".
Il faudrait revoir aussi par une analyse critique, soumise au débat, la pertinence d'une vision sur les mobilités de demain. Pour ne pas revivre la soumission et la dépendance à une locomotion, certes terriblement carbonée, mais privilégier les mobilités de transports publics et forcer l'ambition sur la constitution de pôles de vie partagé avec des services de proximités, des commerces de proximité etc...
En résumé, nos arbres, si chers à nos cœurs, sont attaqués de toute part : par le feu, le vent, les canicules, la raréfaction des nappes d'eau souterraines, la salinisation de leurs racines du fait des submersions marines ou des nappes de surface chargées en sodium.
Sans parler des phénomènes de modes de vie qui font qu'on autorise leur abattage pour l'installation de piscines, a condition de replanter. Des réalités qui posent la question des moyens engagés sur un processus moyen et long terme pour assurer la vérification du remplacement des arbres.
Plus que jamais nos arbres sont précieux pour ceux qui vivent à l'année sur ce territoire. Et un arbre qui disparait c'est un pari perdant pour notre territoire.
UN PHÉNOMÈNE APPELÉ "DIVERSITÉ FANTÔME", AU SEIN DE NOS FORETS
"Quand vous vous promenez en forêt en France, vous voyez en moyenne seulement 20 % des plantes que l'on pourrait observer s'il n'y avait pas d'activité humaine". Aurèle Toussaint (CNRS et Centre de Recherche sur la Biodiversité et l'Environnement, à Toulouse)
Les sites les plus touchés par le phénomène de diversité fantôme sont les forêts du sud et de l'ouest de l'Europe, dont fait partie la France. Plus surprenant encore, les zones davantage protégées sont aussi impactées avec la présence de seulement 35 % des espèces qui pourraient s'y établir. "Nous nous sommes rendu compte que la pollution agissait même à distance sur ces zones-là. C'est un signe de l'action globale de l'homme sur la biodiversité" (A.Tousaint)
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L’équipe de scientifiques révèle que plus l'indice d'empreinte humaine est important dans un endroit donné, plus la diversité du site est impactée. La pollution, l’exploitation forestière, les déchets ou encore le piétinement peuvent exclure des espèces de plantes de leurs habitats.
Il faut espérer que les politiques publiques respectent l'objectif mondial de protection de 30 % des terres de la planète d'ici 2030. Un engagement de la COP 15 biodiversité datant de fin 2022.
(sources citées + France Info Occitanie - 15 avril 2025)
DUNE DU PYLAT : RECONSTRUIRE « À L’IDENTIQUE » DES OUVRAGES DÉJÀ JUGÉS ILLÉGAUX POSE PROBLÈME :
L’affaire des campings installés derrière la dune du Pylat, fait grand bruit en cette fin d’hiver 2025.
A l’origine, c’est-à-dire AVANT l’épisode dramatique de l’incendie de la foret à l’été 2022, des rapports dument établis concluaient à des infractions nombreuses tant sur le respect des autorisations de modification du bâti existant que sur le nombre ou la qualité des structures légères et démontables de camping. Ainsi le rapport Clément requis par les services de l’État, avait déjà pointé du doigt de multiples infractions bien avant les incendies, et certains campings exploitaient depuis des années sous le coup de condamnations à payer des astreintes…
Les dérives se sont complexifiées en avril 2023 sur le fondement d’un permis d’aménager délivré par la mairie, transmis au Préfet pour contrôle de légalité, tout cela sous "la recommandation "du président Macron, et ce à la suite des incendies de juillet 2022.
Il aura fallu plus d’un an et demi pour que la mairie, solidement aiguillonnée par la Préfecture, prenne conscience que le recours contentieux de la CEBA(*) qui lui a été notifié en octobre 2023, comportait de solides moyens lesquels ont du reste été repris pour partie par l’Inspectrice Madame Schwerer venue en novembre 2024 examiner les conditions dans lesquelles le Label « Grand Site » pourrait ou non être délivré à notre cher Site Majeur d’Aquitaine, la Grande Dune du Pilat…
Pour l’heure, la CEBA(*) ne peut que saluer la signature d’un Arrêté municipal, interruptif de travaux en date du 10 mars 2025. Mieux vaut tard que jamais
Le Tribunal administratif jugera de la légalité des autorisations d’aménager 3 des 5 campings dans quelques mois sans oublier de censurer ou non les autorisations ministérielles spéciales soumises également au juges par « exception d’illégalité ».
Découvrez l'arrêté municipal du 10 mars, fortement "suggéré" par l'Etat et sa liste impressionnante de potentielles infractions.
(*) Coordination Environnement du Bassin d'Arcachon, représentant quelques 25 association de défense de la nature et de l'environnement, APNE, dont le CODEPPI
AIT La Teste de Buch 10 mars 2025
SAUVEGARDE DES CORDONS DUNAIRES
Le littoral aquitain constitue le plus long cordon de sable d’Europe et s’achève au sud par une côte rocheuse.
Il est aujourd’hui indispensable d’intégrer son évolution morphologique et son capital patrimonial dans les stratégies de développement durable.
La connaissance et la gestion du littoral nécessitent la mise en œuvre de savoir-faire scientifiques pour anticiper son fonctionnement et optimiser les aménagements proposés concernant un milieu spécifique : l’espace maritime.
Depuis les années 2000, l’Etat, la Région Aquitaine, le Conseil Général des Pyrénées-Atlantiques s’appuient sur des partenaires techniques tels que le BRGM et l’ONF pour mettre au point la première expérience française de connaissance de la mobilité et de l’érosion du littoral à l’échelle régionale. Cinq zones homogènes ayant un comportement durable ont pu être identifiées, chacune pouvant être caractérisée par un type morpho-dynamique et de contact plage-dune. Cette typologie et ses variations spatiales et temporelles constituent un indicateur des tendances évolutives en cours et prévisibles à moyen terme A partir de ce constat, un protocole de surveillance des plages et des contacts plage/dune a été mis en place à partir de 2002 par le BRGM et l’ONF, protocole s’ajoutant à ceux déjà mis en place avant 2002 (suivi de l’évolution du trait de côte entre autres).
Partant de la pertinence de l’outil d’information et d’expertise mis en place, il a été souhaité de pérenniser cette action, de l’élargir à de nouveaux thèmes concernant le patrimoine environnemental côtier et d’ouvrir ce partenariat à d’autres acteurs essentiels de la gestion intégrée du littoral aquitain.
Ainsi, l’Observatoire de la Côte Aquitaine (OCA), mis en place dans le cadre de précédents programmes régionaux, travaille sur les six thématiques suivantes :
1. le suivi du trait de la côte sableuse ;
2. le suivi du trait de la côte rocheuse ;
3. le suivi du bassin d’Arcachon ;
4. la connaissance du patrimoine et de l’environnement côtiers ;
5. les expertises concernant les travaux d’aménagement du littoral, les événements(tempête, érosion, inondation/submersion marine, instabilité…) ;
6. la communication et l’information
Le CODEPPI vous propose de consulter un des documents les plus complets existants en utilisant le lien qui suit. Les impacts environnementaux aux travaux de sauvegarde, principalement faune et flore et paysages sont particulièrement traités.
Lien pour plus d'information
NOTRE FORET : UN ECOSYSTEME MAJEUR MENACE. On fait le point
Au moment où les acteurs engagés dans le comité de pilotage (*) de la Foret d’Exception de Lège Garonne vont procéder au renouvellement du label, au moment ou la nature est auscultée sous tous les angles par les peuples du monde, posons nous les questions et examinons l’état des enjeux, dont on pourrait s’avancer à dire qu’ils font consensus.
(* Dont le CODEPPI est membre depuis sa création)-
Au registre des bonnes nouvelles notons la confirmation que la Forêt est de plus en populaire dans nos cœurs : leur fréquentation est en augmentation constante, les livres sur les arbres sont en tête de rayons dans nos librairies. Ces éco systèmes qui couvrent 30% de notre territoire répondent à notre recherche croissante du « plein air ».
Mais revenons aux menaces, aux inquiétudes qui pèsent, et au premier rang desquelles, grâce aux progrès faits dans l’opinion publique sur l’acceptation des risques majeurs liés au réchauffement climatique nous partageons le constat qu’un déficit de pluie peut être fortement aggravé par une vague de chaleur.
Nos forêts sont confrontées à 4 risques ou menaces majeurs :
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Des épisodes de chaleur qui s’allongent
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Des vents qui s’intensifient
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Des incendies qui augmentent
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Des attaques biologiques qui progressent
Une phrase illustre ce tableau dynamique qui a favorisé notre prise de conscience : « sur les dix dernières années, les dépérissements ont augmenté de 80% et la capacité à stocker du carbone a été divisée par deux » note Marc André Selosse Biologiste spécialiste forestier au MNHN (Museum National D’Histoire Naturelle)
A y regarder de plus près la Foret est l‘exemple même d’une nature généreuse qui mérite toute notre attention. Et pour privilégier quelques-uns de ses atouts, citons en trois :
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Elle accueille la biodiversité
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Elle purifie l’eau
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Elle produit de l’énergie
Est-elle résiliente ? Est-ce que sa capacité à s’adapter est infinie ? Faut il intervenir pour qu’elle résiste mieux aux épisodes climatiques ?
A ces questions essentielles, le consensus dont nous parlions au début de notre propos peut être résumé ainsi : Il faut l’aider à s’adapter, sans dénaturer, en s’appuyant sur deux atouts : la diversité et se projeter dans le temps long.
Le CODEPPI, ses partenaires associatifs vigilants et combatifs groupés au sein de la CEBA (Coordination Environnementale du Bassin d’Arcachon) ainsi que des associations agrées affiliés comme VIVE LA FORET, LA SEPANSO ou BASSIN D’ARCACHON ECOLOGIE partagent ce même combat
Cliquez sur le lien ci dessous et téléchargez parmis les documents proposés le dossier de renouvellement du label ainsi que le nouveau plan d'action 2025-2028. (Pdf 4,5Mo)
Lien sur site ONF Renouvellement label et plan 2025-2028
REUNION PUBLIQUE SUR LE RISQUE INCENDIE DE FORET : FOCUS SUR LES O.L.D. OBLIGATIONS LEGALES DE DEBROUISSSAILLEMENT
La publications du DICRIM (Document d'Information Communale sur les risques majeurs) ne dispensait pas la commune de l'obligation légale de tenir informés les habitants par des réunions publiques.
Le CODEPPI se félicite de la tenue de cette première réunion et relaie l'excellent exposé fait sur les OLD PAR LE SDIS (Service Départemental d'Incendie de Forêt).
Si la CEBA (coordination environnementale du B.A.)soutenue par le CODEPPI a obtenu devant le tribunal que l'Etat fasse aboutir le PPRIF (Plan de Prévention du Risque Incendie de Forêt) prescrit en 2004, notre municipalité reste très attachée à sa conception des procédures en mettant en lumière son PASE, substitut selon elle des PPRIFs.
Le rappel de la législation sur les OLD par la DFCI a permis de rappeler le rôle crucial de cette obligation, son maintien conforme à la procédure nécessitant de respecter chaque année ses règles destinées à PREVENIR le risque.
Cette réunion, a démontré par une assistance très moyenne des habitants et l'importance de l'effort à faire pour sensibiliser plus fortement la population de la commune.
Vous trouverez ci après le lien vers le site de la commune qui propose les exposés faits lors de cette réunion dont celui sur le OLD par la DFCI.
(ouvrir le support de présentation - aller dans la présentation SDIS)
https://www.ville-lege-capferret.fr/actualites/vie-locale/reunion-publique-risque-incendie/
LA FORET D'EXCEPTION : UN LABEL ESSENTIEL POUR LE TERRITOIRE DE LCF - LES ACTIONS EN COURS
La Foret d'exception Landes Gascogne, appelée couramment Foret d'exception du Bassin d'Arcachon participe à toutes les réflexions et travaux liés au réchauffement climatique et ses impacts;
La prise en compte de la forêt dunaire dans les politiques d'aménagement du littoral confirme le rôle précurseur des forêts du Bassin d’Arcachon, par la mise en place d’actions innovantes, transposables à l’ensemble des forêts dunaires de la côte atlantique.
Dès 2017 l'ONF est engagée pour son expertise forestière dans tous les plans de prévention des risques naturels liés au phénomène planétaire du climat.
Le CODEPPI vous propose de découvrir cette actualité en suivant le lien ci dessous
LES O.L.D. OBLIGATIONS LEGALES DE DEBROUSAILLEMENT. UN ENJEU POUR PREVENIR LA PROPAGATION DES FEUX DE FORET
En matière de prévention des incendies de forêt les OLD est une mesure essentielle dont l'information aux personnes physiques et morales concernées incombe aux municipalité.
Cette prérogative est récurrente et est corrélée à la surveillance permanente de son application.
Après les mega-feux de 2022, une jurisprudence nouvelle est venue renforcer l'attention que nos élus doivent accorder à cette prérogative qui peut dans certains cas engager leur responsabilité.
Les assureurs de collectivités locales dont la SMACL attirent l'attention des élus sur ces points
Vous pouvez consulter les récents jugements sur le site suivant:
https://www.observatoire-collectivites.org/
PROSPECTIVE DE LA TRANSFORMATION DU MASSIF FORESTIER SUR LA PRESQU'ILE AVEC LES IMPACTS DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE - LA FORET MOSAIQUE
La “forêt mosaïque”, une nouvelle sylviculture face au changement climatique
Pour l’Office national des forêts (ONF), réussir l’adaptation des forêts au changement climatique passe par l’introduction d’un nouveau concept : "la forêt mosaïque". L’objectif : renforcer la diversification des essences, par des expérimentations menées dans des îlots d’avenir, et varier les modes de sylviculture.
Le CODEPPI, dans le cadre de sa participation au comité de suivi du label "Forêt d'exception" suit les travaux de l'ONF sur les impact et les adaptations de notre massif forestier sui, rappelons le, représente 70% du couvert arboré de notre territoire.
Découvrez ci après l'Infographie de la forêt mosaïque:
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